Voilà pourquoi la théorie du big bang est fausse !

Ce que EINSTEIN n'a peut être pas osé dire.

Sur ce seul site depuis le 14 avril 2001 lecteurs, et personne n'a réussi à démentir ce texte de manière logique jusqu'à ce jour.

Depuis le 22 septembre 1998 j'ai suggéré une expérience à Monsieur le Ministre de l'Education Nationale, de la Recherche et de la Technologie, en France, afin d'affirmer, ou d'infirmer ma théorie, j'ignore jusqu'à ce jour si elle a été faite, devant ceci personne ne peut prétendre que ma théorie est fausse.

Il s'agit d'un manuscrit brut que j'expose sur le vif, et que je n'ai pas repris, car aucune maison d'édition n'a osé l'exploiter.

A l'intention des gens mentalement normaux, je les invite à aller lire certaines vomissures intellectuelles déposées sur mon livre d'or, ainsi que la tentative de désinformation, et ce, en bas de mon texte, je vous laisse libre de tout jugement. lien pour voir : http://perso0.free.fr/cgi-bin/guestbook.pl?login=alain.gouvenaux

 

Attention ! Pour les personnes sensibles, que ce que j'ai écrit ne vous empêche pas de dormir, et ne vous fasse pas peur, car ce qui est expliqué dans cet ouvrage, dite vous bien, dure depuis des milliards d'années, soit depuis le début des temps, et il ne faut surtout pas oublier que nous faisons partie intégrante de cela, donc en quelque sorte, de dieu, et si nous existons dans tous les cas, c'est grâce à tout cela.

Il est bien évidant qu'il m'est impossible de prouver matériellement la théorie que j'explique dans ce manuscrit, mais comme vous le constaterez, je l'ai élaboré sur une base de multiples comparaisons de faits scientifiques, réelles, et quelquefois contradictoires.

Je suis amené dans ce manuscrit à aborder de nombreuses causes différentes qui pourrait vous sembler à ne pas avoir de relation les une entre les autres, cependant compte tenu de la complexité du sujet, je me suis efforcé de ne rien négliger.

Après avoir imaginé cette théorie c'est en la fouillant que je me suis rendu compte qu'elle répondait à beaucoup de questions, et qu'elle coïncidait parfaitement avec la théorie de la relativité d'EINSTEIN, de plus elle permet de lui donner des explications, je me suis même demandé si EINSTEIN ne l'avait pas imaginé, si c'est le cas pourquoi n'en a t-il pas parlé ?

Elle me donne également le sentiment que notre esprit après notre mort physique lui continue.

Pendant la lecture de cet ouvrage afin d'en avoir une bonne compréhension, il vous faudra laisser de coté une bonne partie de vos idées reçues.

Il ne m'a pas été possible de donner une organisation et un sens de déroulement dans ce manuscrit, pour la simple raison, qui est, que tout se passe en même temps, de plus il n'y a pas de sujet préférentiel, car tout est important.

L'explication de cette théorie est également une véritable toile d'araignée, ou un labyrinthe de la pensée, il est probable que vous serez amené à le relire plusieurs fois afin de pouvoir faire les multiples comparaisons et déductions, qui vous amèneront peut être à admettre que cette théorie est fortement probable.

Je pense que le plus difficile sera, par la pensée, de matérialiser le temps comme quelque chose de concret.

Il vous sera facile de comprendre par la lecture de ce document, que la théorie corpusculaire et la théorie ondulatoire, sont une seule et même chose.

Certains scientifiques prétendent qu'il manque 90% de la matière dans l'univers, et que sa température moyenne est de trois degrés au-dessus du zéro absolu, soit moins 270 degrés au-dessous du zéro centigrade, nous devons donc comprendre à les écouter que l'univers est une chose finie.

Si l'univers est une chose finie, alors je présume que vous aimeriez bien que l'on vous explique dans quoi il est contenu ?

Cela me rappelle singulièrement que nos ancêtres disaient que la terre était plate et quelle était posée sur le dos d'une tortue géante.

De son temps Galilée, lui, avait déduit que la terre était ronde parce qu'elle tournait.

Il y a un proverbe bien connu qui dit, qu'il n'y a pas de fumée sans feu.

Pour ma part j'ajouterai, que toutes les actions physiques doivent avoir une explication logique.

Par exemple, celle de la pesanteur qui nous retient à la surface de la terre.

C'est justement l'explication de ce sujet qui est hors du commun, et qui m'a mené à élaborer cette théorie.

Pour donner une logique à la pesanteur, je suis arrivé à en déduire que la lumière ne se déplaçait pas, ou que très lentement, car elle a tout de même une très petite masse.

En revanche, si je m'en réfère à la théorie de la relativité, il devrait être plus logique que se soit la matière qui se déplace, étant donné l'importance de sa masse, tout en tenant compte de l'accélération que nous subissons sur terre et que nous ressentons habituellement comme l'attraction terrestre.

Pour ce qui concerne la pesanteur que nous subissons sur la terre, le phénomène se comporte exactement comme l'accélération que nous pouvons ressentir lorsque nous sommes dans certains manèges sur une fête foraine, ou dans une voiture démarrant très vite.

La seule différence, là, c'est que cette accélération est permanente et continue, exactement comme si nous allions de plus en plus vite du bas vers le haut.

Par l'exemple suivant, si nous laissons tomber deux objets en même temps et qu'ils sont d'un poids différent à un endroit où l'air est absent, ils tomberont tous les deux à la même vitesse.

Je pense qu'en lâchant les objets la véritable action qu'ils subissent, est qu'ils ne sont plus entraînés avec nous dans cette accélération.

Ma conclusion est obligatoirement que c'est le sol qui monte et vient les rejoindre.

L'expérience a été réalisée en juillet 1969 par un astronaute américain sur la Lune, devant des caméras de télévision et en direct, avec un marteau et une plume.

Quand l'astronaute a lâché les deux objets, ils sont arrivés en même temps au sol,. j'en déduirais plutôt que c'est le sol de la Lune qui est venu les rejoindre.

Malgré les multiples recherches effectuées par les scientifiques, il n'a toujours pas été trouvé à ma connaissance et à ce jour, d'ondes gravitationnelles existantes dans l'espace.

L'accélération que nous subissons sur terre se traduit exactement comme si nous nous étions propulsés de plus en plus vite du bas vers le haut.

Je crois que le plus compliqué, c'est de comprendre comment nous sommes poussés du bas vers le haut en permanence, et cela sans même bouger.

J'ai donc émis une hypothèse pour tenter d'expliquer de quelle manière cela peut se produire, ce qui ma finalement décidé à écrire ce document.

Probablement que cette hypothèse vous semblera ahurissante, mais vous constaterez qu'elle n'est pas plus époustouflante, que celle qui dit, que les électrons de l'atome tournent à 300000 kilomètres à la seconde autour de leur noyau.

Pour arriver à suivre mon raisonnement, il vous faut mentalement matérialiser le temps qui s'écoule, et dématérialiser la matière, et il faut également admettre l'existence de l'éther.

Je pense de même que si l'éther n'existait pas, la matière n'existerait pas, si la matière n'existait pas, l'éther n'existerait pas non plus, et surtout si le temps n'existait pas, il n'y aurait riens, ce serait le néant.

J'en ai déduit que l'éther est sans masse, incompressible, très rigide, et qu'il a la particularité de garder en mémoire et éternellement, les vibrations ainsi que les mouvements.

Il est fort probable que ce soit un immense champ magnétique uniforme et d'un seul tenant, dans lequel la matière est sertie.

La forme globale de l'éther ne peut être que sphérique.

Il doit s'agir un immense champ magnétique sphérique en décompression permanente, qui grossit de la même manière que l'onde de choc d'une explosion gigantesque, étant en expansion volumétrique sans fin à une vitesse vertigineuse, essayant de remplir le néant, ou plutôt le vide absolu.

Cette expansion de l'éther, c'est le temps qui passe.

Le temps pourrait se comparer en distance, plus le temps sera long, plus la distance sera grande, aussi, plus la vitesse pour parcourir cette distance sera rapide, plus le temps sera raccourci, également, plus la vitesse sera grande, plus la masse de la matière sera élevée.

Tout le temps de la lecture de ce manuscrit, il ne faudra jamais oublier que toute la matière de l'univers, est sertie dans cette sphère.

Il va de-soit que nous suivons obligatoirement l'expansion de cette sphère d'éther.

En conclusion, de ce fait, nos dimensions changent en permanence.

Nous grandissons et grossissons constamment de manière tridimensionnelle, à une vitesse relative de 300000 kilomètres à la seconde.

C'est à dire qu'un atome partant de zéro, une seconde plus tard, sa dimension aura augmentée de 300000 fois.

Cela veut dire que par exemple, la proportion de notre corps augmente de trois cent mille fois toutes les secondes, ainsi que la terre et tout le reste de l'univers.

Concrètement cela est le temps qui passe.

Pour mieux imaginer ce qu'il se produit exactement, je vous donnerais l'exemple suivant.

Lorsque nous jetons une pierre dans un étang dont la surface est calme, la chute de cette pierre engendre des ronds, qui eux vont aller en s'agrandissant de plus en plus, tout en s'éloignant de leur centre, ou de leur point de départ.

Nous pouvons constater que les ronds ne sont pas un déplacement de l'eau, si un objet flotte à la surface de cet étang, il ne se déplacera pas.

Il ne fera que monter et descendre au passage des vagues.

Ces vagues sont donc un déplacement d'énergie que la chute de la pierre a engendrée, les ronds sont finalement des ondes.

Il faut également savoir, que si la surface de l'étang était infinie, l'onde provoquée par la chute de la pierre ne s'arrêtera jamais, et seule son amplitude diminuera, soit la hauteur des vagues.

Aussi faibles seront-elles, les vagues continueront éternellement à s'épandre à l'infini.

Il ne suffit plus qu'à faire la comparaison suivante, l'éther c'est la surface de l'eau, la matière les ronds, et le déplacement des ronds, c'est le temps qui passe.

Pour concrétiser la réalité en suivant l'exemple de la pierre qui tombe dans l'eau, il nous faut plutôt comparer les ronds à une immense onde de choc sphérique, allant s'épandre indéfiniment vers le vide absolu.

Comme si, cette onde voulait le remplir.

Il est facile maintenant de se représenter que cette onde de choc, doit former une sphère creuse, qui grossit pendant que l'épaisseur de ses parois augmente en même temps.

C'est à dire que son amplitude diminue au fil du temps, de la même manière que les ronds dans l'eau.

EINSTEIN avait dit, que si un voyageur pouvait aller à la vitesse de la lumière, pour lui le temps s'arrêterait.

Je suis obligé d'en déduire, que relativement, le temps se déplace à la vitesse de 300000 km seconde.

EINSTEIN a également dit que la vitesse de la lumière était invariable.

Normal si la lumière ne se déplace pas, ou que très lentement...

Dans cette explication vous comprendrez plus loin, pourquoi la lumière ne se déplace que tout doucement.

Ce cher EINSTEIN a dit aussi, que plus la matière se déplaçait vite, plus sa masse augmentait, de là, est né d'ailleurs, la formule e = mc².

Vu l'importance de la masse de la matière, relativement à celle de la lumière, là, encore une fois, cela me contraint à croire la théorie imaginant que c'est la matière qui se déplace.

Je vais maintenant vous développer cette idée.

Considérons maintenant que nous changeons de dimension à la relative vitesse de la lumière, soit, 300000 kilomètres à la seconde.

Si nous regardons des pylônes électriques alignés dans les champs, plus ils seront loin, plus ils nous paraîtront petits.

Normal, c'est l'effet de perspective, cela est une idée reçue.

Si nous analysons bien le phénomène en tenant compte que les pylônes grossissent tous en même temps, et au même instant, il nous sera alors impossible de les voir dans la dimension réelle où ils sont à ce cet instant.

Car la relative vitesse de propagation de la lumière, est donné à 300000 kilomètres à la seconde, et non instantané, alors que celle de l'expansion l'est..

l'expansion elle, se produit instantanément partout à la fois, et à une vitesse relative de 300000 kilomètres à la seconde, et dans l'instant.

L'explication est la suivante.

Le temps que l'image des pylônes arrive à nos yeux, ou plutôt que ce soit nous qui allons à la rencontre de cette image, les pylônes ne sont déjà plus dans la dimension où nous les voyons.

Nous voyons forcement Leur image en retard.

Il est facile de comprendre pourquoi nous les percevons plus petits qu'ils ne sont dans la réalité.

Il obligatoirement logique que plus les objets que nous regardons sont loin de nous, plus nous les observons dans leur passé, aussi court soit-il.

Conclusion : donc plus ils sont loin de nous, plus nous les voyons petits, compte tenu du retard dû à la propagation, de la relative vitesse de la lumière.

Il ne faut surtout pas oublier que nous même subissons l'expansion également, et au même instant, sans nous en rendre compte.

Nous ressentons exactement la même impression quand nous nous déplaçons vite, lorsque nous sommes dans un train, ou dans un avion.

Si nous ne regardons pas à l'extérieur, nous ne nous rendons compte de rien.

Compte tenu du retard dû à la vitesse de la perception de la lumière, Il nous est impossible de voir la réalité.

C'est à dire, que tout ce que nous voyons est certainement faux.

Il est facile de comprendre que nous observons à l'heure actuelle des étoiles qui n'existent peut-être même plus.

L'univers pourrait être même plat, que nous ne nous en rendrions même pas compte, mais là c'est ma théorie qui ne tiendrait plus debout.

Si la vitesse de la lumière était instantanée, nous ne pourrions pas percevoir la perspective.

Nous aurions une vision d'un monde tout plat, et ne pourrions pas voir les objets se trouvant un peu plus loin de nous, ceux qui se trouvent en deuxième plan.

Une petite expérience facile à faire.

Lorsque vous regardez deux lignes parallèles à un bout, plus elles sont longues plus elles semblent se rejoindre.

Si vous les écartez à l'autre bout d'une distance équivalente de la racine carrée de leur longueur, et que vous les faites se rejoindre à l'extrémité, d'où vous allez les regarder, vous pourrez les voir parallèles jusqu'au bout.

Si vous respectez les proportions décrites ci dessus, La perspective sera annulée, et cela, quelle que soit la longueur des lignes que vous utiliserez.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il faut aussi penser que si l'expansion se fait instantanément, elle n'est pas au même développement partout, et à l'instant.

Pour comprendre il nous suffira de reprendre l'exemple de la chute de la pierre dans l'eau.

Si tous les ronds partent tous du même point, nous remarquerons bien qu'au même instant ils ne sont pas tous de la même dimension, ils seront d'autant plus grand qu'ils seront éloignés du centre.

Il se produit la même chose dans la grande sphère d'éther en décompression, plus nous nous trouverons loin de son centre, s'il y en à un, moins sa compression sera grande, et plus les dimensions à cet endroit seront grandes.

Déduction, dans l'univers tout n'est pas à la même dimension au même instant, il y a des endroits où les dimensions sont forcément plus petites, ou plus grandes.

Donc le temps, lui n'en est pas non plus au même développement partout, bien qu'il s'écoule en même temps, de manière parallèle, mais pas forcément à la même vitesse.

EINSTEIN avait d'ailleurs dit, qu'il y avait une possibilité que nous puissions changer de temps sans que nous nous en apercevions.

Je pense que ceci serait possible si la sphère qui constitue notre temps en croisait une autre, elles viendraient s'enchevêtrer toutes les deux, et la pression, si nous pouvons dire comme cela, des deux ondes de choc s'additionnerait, donc nos proportions diminueraient relativement suivant l'état d'avancement de décompression de l'une, et de l'autre.

Il est facile de comprendre maintenant, que si nous voyageons dans l'espace cela nous oblige à changer de dimension compte tenu du temps qui s'écoule très vite et en permanence.

Nous comprendrons bien que nous nous dirigions toujours vers une dimension plus grande, et même à 11 kilomètres à la seconde, ou même dix fois plus vite, nous n'allons que tout doucement relativement au temps qui s'écoule.

En voyageant nos proportions bien-sur resteront toujours les mêmes, relativement à l'endroit où nous nous trouvons.

Cela aura pour effet que pendant notre déplacement la fréquence des atomes dont nous sommes faits ralentira.

Les atomes se désynchroniseront donc de ceux qui se trouvent à l'endroit du quel nous sommes partis, mais comme le temps lui ne s'arrête jamais, si nous revenons à notre point de départ, même si leur synchronisation se retrouve parfaite, ceux qui auront voyagé garderont obligatoirement leur décalage.

Ce qui relativement a pour effet de ralentir le temps des atomes ayant voyagés.

Il faut savoir que des expériences ont été faites à ce sujet. Aux États-Unis en octobre 1971 cette expérience a été appelée, le paradoxe des jumeaux.

Des scientifiques ont placé des horloges atomiques dans des avions qui ont tourné autour de la terre.

Au départ elles étaient parfaitement synchronisées.

Après l'expérience quand elles ont été comparées, celles qui avaient tourné d'OUEST en EST avaient donc en plus de la rotation de la terre parcourue relativement plus de chemin dans l'espace, que celles qui étaient rester au sol, et celles qui avaient voyagé d'EST en OUEST, avaient donc parcouru dans un même temps, ou instant, et relativement, dans l'espace, moins de chemin que celles qui étaient resté sur terre.

Les horloges qui avaient parcouru plus de chemin dans l'espace avaient fonctionné moins vite, c'est à dire que pendant leur déplacement, la vibration des atomes dont elles étaient constituées, avaient ralenti.

Elles ont vu de ce fait leur temps ralentir également, elles ont donc vieillis moins vite, alors que celles qui avaient parcouru moins de chemin dans l'espace, avaient fonctionné plus rapidement, elles avaient donc vieilli plus vite.

Sur une expérience d'une cinquantaine d'heures, il a été trouvé une différence entre les deux horloges ayant voyagé, 332 nano- secondes, alors que celles qui avait parcouru plus de distance dans l'espace, avait 273 nano- secondes de moins sur celles qui était resté au sol, et sur place.

Si à bord de chacun des deux avions, il s'était trouvé des jumeaux, celui qui aurait tourné dans le sens OUEST en EST, sera obligatoirement et désormais plus jeune que son frère car il aura parcouru plus de chemin dans l'espace, il aura vieilli moins vite.

Je soulignerais quand même, que l'expérience décrite ci dessus a été réalisée en 1971, donc il y a plus de 25 ans, et en avion, à cette époque l'homme avait déjà mis le pied sur la Lune, à l'heure actuelle des cosmonautes tournent pendant plusieurs mois autour de la terre, et dans le sens où nous vieillissons le moins vite, alors que cette expérience avait été réalisée sur une durée d'environ 50 heures.

Il faudrait être vraiment naïf pour ne pas croire qu'à l'heure actuelle elle n'a pas été reproduite avec plus de précision.

Je noterais ici que certains humains à l'heure actuelle, maintenant, doivent avoir des résultats plus précis, ainsi que les conséquences, mais je remarquerais également que l'ont se garde bien de nous en informer.

Il y a donc sur cette planète une catégorie d'hommes qui avec des deniers publics font des recherches, et en garde les résultats pour eux, empêchant les autres d'acquérir la connaissance.

J'aimerai quand même savoir pourquoi, et que nous cachent-ils ?

Avec la précision des horloges atomiques il a été constaté que les jours augmentent de plus en plus, donc la rotation de la terre ralentirait, mais quand nous savons que le fait de se déplacer dans l'espace ralenti le temps, et que la terre elle s'y déplace constamment, que croire maintenant ?

Il ne faut surtout pas oublier que les horloges atomiques qui permettent cette mesure se trouvent avec nous sur terre, et que la comparaison est faite par apport à la durée des jours.

Malgré tout ce qu'il peut être dit, il n'est peut être pas certain que la rotation de la terre ralentit.

Comme nous le savons bien, le soleil lui se déplace dans l'espace en tournant autour du centre de notre galaxie, et la terre tourne, elle, autour du soleil, il va de soi que notre terre, dans un même instant, parcoure plus de chemin dans l'espace que notre soleil.

Donc en comparaison à l'expérience faite aux États-Unis, il va de soi que le temps s'écoule moins vite sur terre, que sur le soleil, la relative vitesse de la lumière étant constante à 300000 kilomètres à la seconde, ce qui correspond donc à la vitesse du temps, il me paraît normal que nous constatons une légère augmentation des jours vue l'invariabilité de la vitesse de la lumière.

Les jours se trouvent donc obligatoirement comme comprimés, ou voire dilatés, relativement au ralentissement des horloges atomiques.

Nous pourrions penser que si nous allions plus vite que la lumière nous remonterions le temps, hélas pour la science fiction, mais dépasser la vitesse de la lumière, revient au même que d'essayer de pousser sa voiture de l'intérieur sans en descendre, cela est vraiment impossible, elle n'avancera jamais.

En ce qui concerne l'accélération qui nous nous colle sur la terre, elle est de 9,81 mètres à la seconde au carré.

C'est à dire que si nous laissons tomber un objet, il accélérera relativement au sol en venant le rejoindre, de 9,81 mètres à la seconde au carré.

Mais si nous inversons le mouvement de la chute de l'objet, en considérant qu'au moment où nous le lâchons, il n'est plus entraîné avec nous, et que c'est le sol qui vient le rejoindre, dans ce cas, il va de soit toutes les secondes nous nous déplaçons relativement de plus en plus vite vers le haut, soit, de 9,81 mètres à la seconde au carré.

Avec un tout petit calcul à faire, j'ai trouvé que tous les 354 jours, nous devrions atteindre relativement à l'année passée, les 300000 kilomètres secondes relatifs.

L'exemple suivant est théorique.

Il faudrait pour cela que la terre soit toute seule dans l'univers, mais si à une certaine distance de notre planète nous laissons tomber une pierre, avec l'accélération de 9,81 mètres à la seconde au carré, au bout de 354 jours, elle arrivera avec une vitesse relative au sol, à 300000 kilomètres seconde. Hasard, bizarre, 354 jours, c'est une année lunaire.

En tenant compte de cette théorie, il est facile à comprendre que la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde ne peut être qu'une référence par rapport à un instant précis, car au fur et à mesure que le temps avance, la vitesse augmente, tout dans cet univers n'est que relatif.

Je pense que le temps accélère en permanence, au carré du temps.

C'est à dire qu'au bout d'une première minute, par apport à un endroit de référence, et un moment donné, il s'est écoulé 3600 secondes soit une heure, et au bout de la deuxième minute cela nous donne 216000 heures, soit un peut plus de 24 ans, donc pour 3 minutes cela nous donne environ 578 ans, et ainsi de suite.

Cela veut dire que si nous pouvions voyager à la frontière de 300000 kilomètres à la seconde dans l'espace, pendant trois minutes seulement, quand nous reviendrons sur terre, il se sera passé environs 578 ans, si nous prolongeons notre voyage d'une minute, soit quatre minutes au total, quand nous reviendrons sur terre il se sera passé, 334084 ans ainsi de suite.

Il faudra comprendre que si je ne donne qu'une vitesse frôlant les 300000 kilomètres à la seconde, c'est qu'à 300000 kilomètres seconde pile, plus aucun calcul n'est possible, car le temps arrête, purement, et simplement.

Je pense que dans les vitesses inférieures à celle de la lumière, le ralentissement du temps est fonction de la distance parcourue, ainsi que de la vitesse de déplacement.

C'est à dire que le temps ne sera pas ralenti de la même durée, pour une même distance parcourue, si nous allons plus, ou moins vite.

La masse du soleil étant 109,5 fois plus grande que celle de la terre, compte tenu de la très grosse accélération que nous subirions si nous étions sur le soleil, nous devrions atteindre l'équivalant à de la relative vitesse de la lumière, en 3 jours et demi.

Ceci me laisse penser que dans l'état actuel il nous sera impossible de nous déplacer à la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde, car même à 3 jours d'y arriver, nous subirions l'accélération qu'il y a à la surface du soleil, nous serions donc déjà portés à sa température.

Pour ce qui suit, il va falloir maintenant changer notre manière de penser.

Ce qui devrait pouvoir expliquer, ou nous aider à comprendre, comment un électron est capable de tourner autour de son noyau en passant par toutes les orbites en même temps.

Chose qui pour nous est impossible à imaginer.

L'atome n'est probablement pas comme nous nous le représentons schématiquement.

La définition actuelle de l'atome est comme suit.

Il faut savoir qu'un atome est composé d'électrons, qui gravitent autour d'un noyau, en passant par toutes les orbites en même temps, et ceci, à la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde.

Ce noyau est composé de neutrons, et de protons, tout du moins c'est l'explication scientifique en vigueur.

L'atome le plus simple existant dans la nature, est l'atome d'hydrogène.

Il est composé d'un seul électron qui gravite autour de son noyau, qui est formé d'un seul neutron, et d'un seul proton.

Il faut également savoir qu'un neutron peut aussi se transformer en proton, ou en électron, c'est dire passer d'un état à l'autre.

Il est mis en évidence qu'un neutron est une fréquence, soit une vibration.

Le simple fait que les éléments qui composent l'atome sont de même nature, m'oblige à penser que toute la matière n'est faite que de vibrations, soit de mouvement.

Des expériences au Japon ont été faites démontrant que l'électron lui aussi se comportait comme une fréquence, en les faisant passer à l'aide d'un ordinateur un par un, dans un interféromètre.

J'en déduit obligatoirement que toute la matière n'est faite que de vibrations.

Pour qu'il y ait vibrations, il faut que quelque chose vibre, et ce quelque chose ne peut être que l'éther.

Je présume que chaque atome doit être un petit volume d'éther en vibration.

Ce qui voudrait dire que la matière est de l'énergie figée dans l'éther, soit un mouvement éternel, et perpétuel.

Un atome est probablement un petit champ magnétique de forme sphérique, fermé sur lui-même.

Je m'explique.

Un aimant lui à un nord, et un sud magnétique à chacune de ses extrémités.

Je dirais que son champ magnétique est ouvert, ou plus précisément orienté.

Pour l'atome cela doit se présenter de la manière suivante.

Le sud du champ magnétique constituant l'atome se trouve au centre de la sphère qui le forme, et le compose, et son nord se trouve à sa surface, ou vice et versa.

Un tel champ magnétique ne devrait pas pouvoir exister, s'il n'y avait pas cette expansion rapide.

Grâce au mouvement expansif, celui ci se met à vibrer pour se remettre en question sans arrêt, comme s'il s'agissait d'un petit sac de toile qui se retournerait très vite, à l'endroit, et à l'envers, en permanence.

Nous pouvons comparer cela à une sorte de petit big bang, suivi d'un big crunch, et cela sans cesse.

Si ma théorie est la bonne, un atome doit être donc un petit champ magnétique indépendant, et sphérique, qui grossit continuellement comme un ballon qui gonflerait.

J'en déduit que l'atome de matière si le temps n'existait pas soit l'expansion, n'aurait rien de solide.

Il n'est de ce fait que théorique.

Il n'est peut être que là pour créer notre esprit, ou c'est notre esprit qui a pris existence sur cette chose théorique, qui est quand même bien réelle, et qui constitue la matière.

Je noterais également que si notre esprit n'est pas palpable, il est lui aussi réel.

Pour vous donner une idée de la dimension d'un atome.

Si nous alignons les atomes d'un gramme de fer les uns au bout des autres, il faudra à un avion du type Airbus A 320, environ 300 ans, en volant 24 heures sur 24, pour parcourir la ligne que cela ferait, ce qui constituerait en même temps le fil de fer le plus fin du monde.

Ce petit ballon qui est l'atome ne doit pas grossir de manière continue, il doit probablement grossir par saccades, et chaque saccade correspond à une couche d'électrons.

Je pense d'ailleurs qu'il grossit chaque fois qu'il est remis en question, c'est à dire lorsque que ce petit champ magnétique s'est retourné.

Cela veut dire également que notre existence doit se faire par intermittence.

Un coup nous existons, un autre coup nous n'existons pas, et cela à une vitesse vertigineuse, ce qui me laisse penser que nous vivons en permanence dans une sorte de big bang, et de big crunch permanent.

La différence du nombre de couches d'électrons d'un atome à l'autre peut s'expliquer de la manière suivante.

Nous comprendrons biens qu'un atome d'hydrogène n'ayant qu'un électron grossira en une seule saccade à chaque fois, alors que dans le même temps un atome d'or grossira en 79 saccades, ce qui correspond à ses 79 couches d'électron.

Au lieu de dire qu'un atome d'or à plus d'électrons qu'un atome d'hydrogène, je pense qu'il serait plus logique de dire que la fréquence de l'atome d'or, est plus élevé que celle de l'atome d'hydrogène.

L'atome d'hélium lui comporte deux électrons, ce qui normalement doit correspondre, à deux atomes d'hydrogène encastrés l'un dans l'autre, exactement comme des poupées russes.

Un atome d'or, a donc 79 électrons, ceci correspond à 79 atomes d'hydrogène emboîtés les uns dans les autres.

Lorsque deux atomes d'hydrogène s'emboîtent l'un dans l'autre pour former de l'hélium, nous dirons qu'ils fusionnent.

Tout au début de la création de l'univers, il est fort probable qu'il n'y avait que des atomes d'hydrogène, et par l'intermédiaire des étoiles, ils ont fusionné ensemble, pour produire les différentes matières.

Il faut aussi en déduire que le temps, à l'endroit où nous nous trouvons, prend naissance au centre de chaque atome.

Cela doit être la raison qui fait, que quel que soit l'endroit où nous nous trouvons dans l'univers, nous avons l'impression que nous sommes toujours au milieu.

Si un observateur se trouvait en dehors du temps, donc qui ne subirait pas l'expansion volumétrique, et qu'il regarderait notre système solaire, il le verrait grandir de la même manière que nous verrions l'image d'une diapositive qui serait projetée sur un écran, et qui passerait par un zoom.

Dans ce cas l'observateur en regardant devant lui, aura l'impression de se déplacer allant très vite vers le système solaire.

Il va de soi que si toute la matière grossit, les espaces entre les planètes également, autrement les différentes planètes qui constituent notre univers, viendraient se toucher très rapidement.

Pour que cette théorie prenne toute sa logique il faut admettre que quand le soleil émet sa lumière, il ne fait que semer ses photons dans l'éther, de la même manière qu'un cultivateur sème son blé dans un champ.

C'est nous qui allons à la rencontre de ses photons, comme si nous suivions le cultivateur dans son champ, en gardant toujours la même distance derrière lui, alors que nous allons à la rencontre des graines qu'il a semé.

Comme tout grossit en même temps, il va de soi que les espaces n'augmentent relativement pas de volume, donc les nouveaux photons quittant le soleil doivent pousser à leur départ, leur prédécesseur, n'ayant pas de place.

Ce qui donne une toute petite vitesse de déplacement à la lumière, d'où probablement sa petite masse.

Il faut croire qu'aux confins de l'univers il doit s'échapper obligatoirement de la lumière, des ondes, et cetera...

En ce qui concerne l'accélération que nous subissons sur terre je l'expliquerais de la manière suivante.

Tous les atomes qui constituent notre planète se tiennent les uns à côté des autres, et sont incompressibles.

Comme l'expansion est instantanée partout, mais qu'elle en n'est pas au même développement à tous les endroits, il va de soit que certains atomes ne se trouvant pas dans la même dimension, mais dans la même sphère, qui constitue la terre, ils se pousseront théoriquement les uns contre les autres.

Ce qui se traduira finalement, et obligatoirement, par une accélération à la surface de notre planète.

C'est à dire que, les atomes se trouvant en surface, serons en avance sur leur temps, qui lui normalement prend naissance dans le centre de chacun d'entre eux.

Dans cette description, lorsque qu'une grande quantité d'atomes sont tous groupés ensembles, ils s'empilent de manière sphérique, toutes les planètes le prouvent.

Dans cette condition là, le temps local prend alors naissance, ou démarre, du centre de chaque sphère, (planète) ma conclusion est, que l'accélération, ou l'attraction qui nous colle sur la terre, se produit grâce à l'évolution, ou l'expansion du temps.

C'est à dire que la gravitation, ou la pesanteur que nous subissons sur terre a un lien très étroit avec le temps.

Je cite un exemple théorique à l'extrême, imaginez une grande barre de métal très rigide qui ferait 300000 kilomètres de long, si nous la poussions à un bout pendant une demi-seconde sur 2 centimètres de distance, l'autre extrémité se déplacera instantanément, donc les atomes de l'autre bout auront une demi-seconde, et 2 centimètres d'avance sur leur temps.

Ils subiront automatiquement une très grosse accélération, il faut bien tenir compte que le temps ne se déplace lui, qu'à 300000 kilomètres à la seconde, dans l'instant.

Cela reviendrait à la même chose, que si la matière de l'autre bout de la barre de métal, avait dépassé la relative vitesse de la lumière, ou la vitesse du temps.

De la matière allant plus vite que le temps, c'est impossible.

EINSTEIN disait aussi, que plus nous nous rapprochions de 300000 kilomètres à la seconde, plus les objets raccourcissaient dans le sens de la marche.

Ce qui voudrait dire que l'atome s'aplatit dans le sens de son déplacement.

Ce qui ne doit pas être tout à fait exact.

L'atome pendant un déplacement subit une pression sur l'avant, qui se reporte automatiquement sur l'arrière de ce déplacement, il ne faut surtout pas oublier qu'il est serti dans l'éther qui lui est incompressible, et indéformable, ainsi que l'atome lui-même.

Pendant le déplacement d'un atome les pressions subit sur l'avant, et l'arrière de celui ci, vont engendrer des lignes de forces perpendiculaires, partant si nous pouvons l'exprimer comme cela, de ses pôles, allant rejoindre son équateur transversal, qui sont retransmises instantanément par l'éther, qui lui étant très rigide.

Ces lignes de force se traduiront finalement par un champ magnétique détectable.

Il est fort probable qu'un champ magnétique continu d'un aimant, ou d'un électro-aimant, se retransmet, ou se propage instantanément d'un bout à l'autre de l'univers, aussi faible soit-il fonction de la distance.

Ce qui veut dire que lorsque nous activons un électroaimant, à l'instant même où il fonctionne, si nous avions des instruments suffisamment sensibles, nous devrions pouvoir le détecter également, au même instant, aux confins de l'univers.

La figure ci dessous, montre en pointillé les lignes de forces émanant de l'atome retransmises par l'éther, la flèche (D), est le sens de déplacement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est probablement la raison pour laquelle la terre, et les autres planètes ont un champ magnétique passant par leurs pôles.

Je l'expliquerais de la manière suivante, le fait que la terre tourne sur elle-même, fait que la matière de sa croûte se déplace dans l'espace, les champs magnétiques de tous ses atomes s'additionnent, pour créer finalement un champ magnétique global, qui lui repasse par les pôles, et qui d'ailleurs fait dévier l'aiguille d'une boussole pour nous indiquer, le nord, ou le sud.

Le pôle magnétique de la terre ne coïncide pas exactement avec son axe de rotation.

Cela ne peut être du, qu'à ce que la masse de ses continents ne soit pas répartie de manière régulière sur sa surface.

De plus il a été démontré que l'axe du champ magnétique de la terre se déplaçait dans le temps, c'est à dire qu'il y a 500 ans il n'occupait pas la position qu'il a aujourd'hui.

La raison de ce déplacement est probablement due à la position que la terre occupe dans la galaxie, cette position change bien sur en permanence.

Il est très certainement perturbé, et modifié par le champ magnétique des étoiles et des planètes composant notre galaxie.

Il a pu être possible de voir que le champ magnétique de la terre se déplaçait, grâce à des études faites sur des briques de vieux fours éteints depuis longtemps, ces briques avaient gardé l'orientation du champ magnétique de l'époque où elles avaient chauffées, et s'étaient refroidies pour la dernière fois.

La masse gigantesque de matière qui tourne autour du centre des galaxies, engendre également un énorme champ magnétique, dont toutes les lignes de forces repassent obligatoirement par le milieu.

Ce qui doit leur donné un champ magnétique analogue à celui de la terre.

Cela est certainement la raison de l'existence des trous noirs au centre des galaxies.

C'est ce même champ magnétique qui doit empêcher les galaxies de s'éparpiller, ou de se disloquer.

Plus la masse d'une galaxie est grande, plus elle devra tourner vite afin qu'elle ne s'effondre pas sur elle-même.

Car le déplacement des corps qui la composent fait qu'ils s'attirent tous mutuellement, et la force centrifuge provoquée par leur rotation, permet de les maintenir éloignés du centre, et écartés les uns des autres.

Il va de soit que plus nous aurons de matière en déplacement, plus le champ magnétique sera puissant, il doit donc obligatoirement y avoir une proportion moyenne dans l'existence des galaxies, plus massives elles s'effondrent, plus légère elles s'éparpillent.

Il ne s'agit là que d'un équilibre constant.

Voilà peut-être, qui expliquera à certains astrophysiciens, pourquoi les galaxies tournent soit disant trop vite sur elles même.

Je noterai encore un fait particulier à la terre, le fait de multiplier son diamètre par deux, ensuite le résultat par la racine carrée de deux, le résultat final est bizarrement la distance géostationnaire.

Exemple: le diamètre de la terre est de 12738 kilomètres la racine carrée de deux est 1,414, soit l'opération :12738 X 2 = 25476 X 1,414 = 36023 kilomètres.

A croire que la vitesse de rotation de la terre est fonction de sa masse.

Il est probable qu'elle ne peut pas tourner plus, ou moins vite.

Cette vitesse doit être probablement fonction donc de sa masse, et cette vitesse de rotation doit aussi dépendre de la distance qu'elle occupe par rapport au soleil.

Pour les personnes qui ne savent pas ce qu'est la distance géostationnaire, il s'agit de la distance où les satellites de télévision sont positionnés.

A cette distance les satellites tournent en même temps que la terre autour de son axe, de ce fait ils se trouvent toujours au même endroit par rapport au sol, cette distance est donc de 36000 kilomètres.

Je précise pour les personnes n'ayant pas de notion de mathématique, ou de géométrie, que la racine carrée de deux se traduit par la diagonal d'un carré.

C'est à dire que si l'on additionne la longueur de deux cotés d'un carré, la racine carrée de l'addition, sera la longueur de la diagonal de ce carré.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La racine carrée de deux dans cette théorie est également omniprésente, car si nous observons bien dans cette expansion, nous nous situons dans la diagonale d'un carré, c'est à dire que nous sommes entre deux lignes droites, soit deux rayons de la sphère qui est le temps, qui partent d'un même point en angle droit soit 90°, et qui s'allongent à une vitesse de 300000 kilomètres relatifs, par seconde.

De ce fait cette diagonale est la racine carrée de deux sur les schémas ci dessous la lettre (S) représente la sphère d'éther en décompression, les rayons (T) représentent le temps qui avance en s'éloignant du centre, la ligne (A) en pointillé correspond à la racine carrée de 2 qui provoque notre accélération, et le cercle (U) représente une petite partie de notre univers. Il est facile à comprendre comment, notre univers suit l'expansion de la sphère, qui est le temps.

Par leur différence de taille La figure : 1 représente l'univers au temps présent, et la figure : 2, quelque instant après.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Là encore une intrigue logique à signaler, il faut savoir que l'intensité d'un champ magnétique, ou électromagnétique, diminue au carré de la distance.

Il en est de même pour la lumière, et les autres rayonnements.

Toutes ces intrigues logiques, font qu'elles nous habituent à penser dans un seul sens, de manière linéaire, je pense que c'est pour cela, que nous avons du mal à comprendre dans quel univers nous évoluons.

Il suffit maintenant d'imaginer que tout évolue de manière volumétrique, soit dans les trois dimensions, y compris le temps, et tout paraît claire.

Les atomes eux ne semblent pas aimer les trop grandes vitesses.

A une certaine vitesse, l'atome ne se contente pas que de créer un champ magnétique, il se met à se déformer, en vibrant, c'est à dire que là il vibre beaucoup plus lentement que sa propre fréquence, mais il engendre soit des fréquences infra rouges, ou des fréquences lumineuses, voir même des rayons X, et gamma, ainsi que neutrinos.

A ce moment là, nous pouvons le comparer à une roue qui tourne très vite, qui se déséquilibre, et qui se met à vibrer.

De ce fait, sur la surface de la terre les atomes subissent donc une accélération perpendiculaire au sol, il va de soit qu'ils vont subirent une pression, qui s'exercera verticalement.

Ma conclusion est, qu'il doit y avoir certainement un champ magnétique fermé, soit en court circuit si l'on peut dire, de forme sphérique, indécelable par quelque boussole que ce soit, qui enrobe la terre.

Ce qui doit se traduire par ce que certains appellent des courants telluriques, ce qui pourrait permettre éventuellement de donner une explication du moyen, qui fait que les sourciers arrivent à trouver de l'eau.

Par leur déplacement horizontal relatif à la terre, les atomes de l'eau de source se déplaçant dans le sol, viennent probablement perturber localement le champ magnétique sphérique enrobant notre planète, c'est peut être là, une des raisons, ou l'explication pour que la baguette des sourciers entre en mouvement.

Il est aussi possible que nous pesions moins lourd que ce que nous devrions, car ce champ magnétique, de par sa conception, étant fermé sur lui-même, ou en cour circuit, tout doit se repousser légèrement.

La confirmation de ceci est peut-être, que lorsque nous laissons tomber un objet, si son accélération est de 9,81 mètres toutes les secondes, il faut savoir que la première seconde, il ne parcourra que 4,905 mètres.

Certains astrophysiciens prétendent que le soleil n'est qu'une boule d'hydrogène, donc il serait un corps céleste complètement gazeux, et que son énergie proviendrai de son centre, comment pouvons nous imaginer une étoile complètement gazeuse quand nous savons que ce sont elles qui transforment les matières, dans ce cas il faudrait nous expliquer ce que devient la matière transformée à l'intérieur.

Il serait plus logique que notre soleil ait un noyau de matière dense en fusion, et qu'il soit recouvert d'un océan d'hydrogène.

Il est même probable qu'il est constitué de matière disposée en couche, par exemple, en dessous de son océan d'hydrogène se trouve de l'hélium, et en dessous du lithium, et cetera pour trouver dans son centre des matières très lourdes comme l'or, l'uranium, le platine.

Il est fort probable que la fusion de l'hydrogène qui se produit sur le soleil, est due à la trop grande accélération que les atomes subissent à sa surface.

Sur le soleil les atomes d'hydrogène sont tellement chauffés par l'accélération, et y subissent une telle pression, qu'ils finissent par fusionner soit s'emboîter les uns dans les autres.

Il n'est donc pas certain, que c'est la fusion qui lui fait dégager son énergie, mais ce serait plutôt la chaleur, et la pression, qui engendre la fusion provoquée par l'accélération.

Le soleil n'est peut-être pas prêt de s'éteindre comme certains le prétendent, car si l'hydrogène fusionne à sa surface pour former de l'hélium, ainsi que d'autres matières, il est fort probable qu'avec la forte concentration de chaleur qu'il y a en son milieu, c'est une fission qui se produit, ce qui doit refaire de l'hydrogène, qui doit remonter à la longue à sa surface et qui sont peut être la cause de ses éruptions cycliques.

Par ce processus, l'hydrogène de la surface du soleil doit se renouveler constamment.

J'en ai déduit également, que plus une étoile sera grosse, plus elle devra tourner vite, pour que les atomes qui se trouvent à sa surface, subissent des pressions égales, verticalement, et horizontalement.

Il a pu se produire la chose suivante pour notre soleil, à un moment donné sa rotation a ralenti, ou il a grossi par l'apport continuel de la chute de météorites.

Il était alors trop gros pour sa vitesse, les atomes se trouvant vers sa surface avaient tendance à subir une trop grande accélération verticale, alors que le relatif déplacement horizontal avait diminué.

Les atomes étant arrivés à la limite de leur accélération, une petite partie de la matière se trouvant à la surface de l'étoile du jour, a littéralement explosé pour être rejeté dans l'espace.

C'est probablement comme cela, que notre système solaire a commencé.

Je noterais en passant qu'il va de soit que les atomes se trouvant aux pôles des étoiles, ne subissent que l'accélération, mais pas de déplacement qui devrai compenser leur équilibre.

Il faut donc en déduire, que le champ magnétique des étoiles, repassant par leur axe aux pôles, compense l'équilibre des atomes s'y trouvant, de la même manière que ceux qui se trouvent à l'équateur subissant un déplacement, sinon les étoiles seraient probablement de forme torique.

Il est même probable que certaines étoiles géantes, sont de formes toriques, voir même peut-être creuses.

Nous retrouvons là encore un lien indissociable, entre les champs magnétiques, et le déplacement de la matière.

Après l'explosion du soleil, cette matière rejetée dans l'espace c'est mis à tourner, entraîné par la rotation de notre étoile, accroché à son champ magnétique.

A la longue de milliards d'années, force centrifuge oblige, cette matière s'est disposée en anneaux tournant au-dessus de l'équateur du soleil, et tout doucement les anneaux se sont agglutiné pour former les planètes, tel que la terre.

Seul une petite partie de la matière n'a pas dû se mettre à tourner autour du soleil, c'est celle qui a été rejeté aux pôles, c'est probablement elle qui constitue aujourd'hui en majeure partie les comètes, qui comme nous le voyions bien, tournent souvent presque perpendiculairement aux orbites de toutes les autres planètes de notre système solaire.

Certains scientifiques prétendent que s'il y a de l'eau sur terre c'est dû à la chute de comètes, pourquoi les autres planètes de notre système solaire n'ont presque pas d'eau, à croire que toutes les comètes passent par la seule orbite de la terre.

Si nous nous basons sur cette théorie, cela veut dire qu'il y à une personne en France, qui au jeu du loto, gagne presque à toutes les fois.

A propos des comètes, je pense qu'elles doivent tourner sur elles même de la même manière qu'une balle de fusil quand elle est passé dans un canon strié.

Ce qui fait que lorsqu'elles arrivent à un des pôle du soleil, elles sont attirées par le champ magnétique de celui ci, et lorsqu'elles ont dépassé ce pôle, elles sont repoussées, ce qui dans tous les cas leur donne un mouvement de rotation pratiquement perpétuel.

Après avoir effectué quelques petits calculs, je me suis aperçu que la comète de Halley, si rien ne vient perturber son orbite, elle ne tombera jamais sur la terre.

Il est certainement plus probant, qu'à la formation des anneaux de matière, suite à leur rotation, cela a fonctionné comme dans une centrifugeuse.

Une grande partie d'eau c'est probablement trouvé dans l'anneau qui a formé la terre, je pense qu'il est plus raisonnable de croire que c'est cela qui c'est certainement produit, dû au phénomène de la densité tout simplement.

Je noterai que l'eau se trouvant dans l'anneau où la terre s'est formée, n'a pas pu être éjecter du soleil en un seul tenant, car à neuf cents degrés, l'eau se décompose en oxygène et en hydrogène.

Il me parait évident qu'elle s'est combinée dans une explosion gigantesque, après que l'oxygène, et l'hydrogène aie refroidi.

Ce qui veut dire bien sur, qu'il ne peut pas exister d'eau sur le soleil.

En rapport avec le processus de la centrifugeuse, il est même probable que quelque part, ou dans d'autres systèmes solaires, certaines planètes sont conçues, avec autant d'or, qu'il y d'eau, et de sable sur terre.

Il est certain qu'il y a dans l'univers des milliers, ou plutôt des milliards de planètes, telles que la terre où la vie c'est certainement installée, quand nous savons de plus, que rien que dans notre galaxie, il y a environ cent milliards d'étoiles comme le soleil, et qu'il y a des milliards de galaxies dans l'univers.

Pour vous donner une petite idée de l'immensité de l'univers, rien que pour aller d'un bout à l'autre de notre galaxie seulement, il faut 100000 ans, à la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde.

Si tout s'est produit de cette manière, il n'est pas certain non plus que la terre était une boule de roches en fusion au départ comme nous l'apprenions-il y a 30 ans à l'école primaire, et qui aurait refroidi.

La chaleur du centre de notre planète est probablement arrivée après, elle a certainement été provoquée par les matières radioactives internes de celle ci, soit par les neutrons, tout le monde sait que la radio activité produit de la chaleur, d'ailleurs, c'est comme cela que fonctionne les centrales atomiques.

Il s'est peut-être même produit la chose suivante pour la formation de certaines de nos montagnes.

Quand toute la matière de l'anneau qui a formé la terre c'est rassemblé pêle-mêle, il va de soi que des poches d'eau se sont trouvées prisonnière à l'intérieur, et quand la température intérieure a monté, l'eau c'est transformé obligatoirement en vapeur, et avant de s'échapper, elle a probablement réussi à soulever certaines de nos montagnes, et y laisser des creux constituant encore à l'heure actuelle, une partie du relief de notre planète.

S'il y a de l'oxygène sur terre, c'est bien sur grâce à l'eau, il faut savoir que les molécules d'eau se trouvant en haute altitude sont décomposées en oxygène, et en hydrogène, par les rayons ultra violet du soleil.

L'oxygène étant plus lourd que l'hydrogène, il reste sur terre, et l'hydrogène lui s'échappe, pour se dissiper dans l'espace, cela a été constaté par des satellites d'observation.

Il est possible alors d'en déduire que la quantité d'oxygène augmente en permanence, donc c'est toute l'atmosphère qui augmente en permanence.

Cela veut dire que si l'homme est toujours là dans des milliers d'année, il devra vivre sous des pressions atmosphériques beaucoup plus élevées.

Dans des temps futurs et lointains, il est même probable que toute la végétation sera plus importante, c'est à dire les arbres pousseront plus vite, et plus gros, ainsi que les fruits, les légumes, et cetera, car tous les jours nous renvoyons dans l'atmosphère, avec toutes les industries, le carbone sous forme de gaz carbonique que la terre avait enfoui pendant des millénaires, et c'est ce carbone qui permet aux végétaux de se développer, cela est bien connu, que les plantes, absorbent pendant la journée du gaz carbonique, qui se transforme en sucre pour les fruits, et en cellulose pour le bois, ou le coton.

Il faut savoir que le sucre que nous mettons dans notre café est du carbone pratiquement pur, au même titre que le diamant, à la seule différence, que le carbone du sucre est hydraté, et que celui du diamant est cristallisé.

Quant à l'effet de serre que certains scientifiques nous annoncent, je pense pour ma part qu'il ne proviendra pas essentiellement de la pollution causée par le gaze carbonique, mais aussi par l'augmentation de l'oxygène de l'atmosphère dû aux rayons ultraviolets provenant du soleil.

Il va de soi qu'une quantité de matière plus importante retiendra une quantité d'énergie également plus importante.

Les scientifiques disent également, que si la terre n'avait pas d'atmosphère, la température y serait, 40° plus basse, car une bonne partie de la chaleur du soleil ne serait pas retenue, et repartirait dans l'espace, c'est logique.

Nous possédons un exemple flagrant dans notre système solaire, c'est la planète Vénus, qui a un diamètre plus petit que la terre de 650 km seulement, sur laquelle il règne environ une température de 500°c.

La planète Vénus se trouvant plus près du soleil que la terre, elle reçoit de ce fait une densité plus importante de rayons ultra violet.

Mes conclusions sont donc que l'eau de sa surface c'est décomposé en oxygène, et en hydrogène beaucoup plus vite que sur terre, elle a probablement beaucoup d'eau a sa surface, ou plutôt de vapeur d'eau, ce qui explique l'importante épaisseur de nuages qui obstrue la vision de son sol, et cette vapeur d'eau n'a fait qu'amplifier l'effet de serre qui s'y est produit.

En quelques lignes, il est facile de comprendre ce qu'il se passera sur terre dans des millénaires, même si nous ne polluons pas.

Il n'a d'ailleurs pas été constaté de champ magnétique sur Vénus, pour moi la raison est très certainement due à la lenteur de sa rotation sur elle-même, qui d'ailleurs ce produit à l'inverse de celle de la terre.

C'est à dire que si nous considérons que son pôle nord magnétique est dans le même sens que celui de la terre, le soleil se lève à l'OUEST sur cette planète.

Sur les rapports scientifiques, il est dit que vénus n'a pas de champ magnétique, car son noyau serait constitué de fer, alors que sur les rapports scientifiques de Jupiter, son noyau serait également constitué de fer, alors que là, il a été détecté un champ magnétique avec les sondes spatiales qui lui ont étés envoyées en reconnaissance.

De toute évidence pour ce qui concerne les champs magnétiques de ces planètes, je constate ici que les rapports sont contradictoires.

L'accélération que nous subissons au sol, n'a certainement aucune relation avec l'attraction, qui par exemple, retient la Lune autour de la terre.

Le fait de sa rotation autour de la terre, la Lune se déplace dans l'espace, donc elle a un champ magnétique indécelable, et c'est ce champ magnétique qui probablement la retient au champ magnétique de la terre.

Il devient facile à comprendre pourquoi quand une planète tourne autour d'une autre, cela se fait toujours au-dessus de l'équateur, et dans le même sens de rotation.

Je noterais en passant que le temps s'écoule moins vite sur la Lune que sur la terre, car il va de soi, compte tenu de sa rotation autour de la terre, elle parcoure dans l'espace et dans un même instant, plus de distance que notre terre.

Grâce à la force centrifuge, la Lune se trouve en équilibre pratiquement au-dessus de l'équateur, comme si la Lune était accrochée par deux élastiques reliés aux deux pôles magnétiques de la terre.

D'autre part, il est bien connu que la Lune fait remonter les objets métalliques enfouis dans le sol, telle que des éclats d'obus, ou voir même des bombes entières, et surtout n'oublions pas les marées.

Tout cela prouve bien que les planètes, ainsi que les étoiles, soient retenues entres-elles par des champs magnétiques, du même genre celui des aimants.

Il faut bien admettre, que contrairement aux ondes, les lignes de force des champs magnétiques, eux, se propagent instantanément, si ce n'était pas le cas, la Lune s'éloignerait réellement de la terre, et de plus en plus vite, ce qui prouve aussi, que l'éther est très rigide, puisque c'est lui qui retransmet ces lignes de force.

Je dois maintenant pour les personnes non averties faire un petit cours de physique.

Un courant électrique continu est un courant qui circule toujours dans le même sens, exemple, le courant électrique d'une pile est un courant continu, il s'écoule du moins vers le plus, sans interruption.

Un courant électrique alternatif, est un courant qui change de sens en permanence, si ce courant change 50 fois de sens dans une seconde, nous dirons que c'est un courant de 50 périodes, ou de 50 hertz, c'est ce même courant électrique que l'E.D.F envoie dans nos maisons en France.

Les ondes de radio, ou de télévision, sont également des courants alternatifs, la seule différence est que leur fréquence n'est pas là dans ce cas, de 50 hertz, mais de plusieurs centaines, ou de plusieurs millions de périodes à chaque seconde.

Nous dirons qu'un courant électrique de mille hertz, est un courant de un kilo hertz, et un courant de un million de hertz sera un courant de un méga hertz, ce sont des termes que nous entendons tous les jours concernant les stations de radio FM locales.

Il faut savoir aussi que lorsque nous mélangeons deux fréquences différentes elles ne s'additionnent pas, bien au contraire elles se soustraient, par exemple si nous mélangeons une fréquence 100 mégas hertz avec une fréquence de 75 mégas hertz, le résultat sera de, 25 mégas hertz, soit l'addition, 100 + 75 = 25.

Ces explications décrites ci-dessus peuvent, par exemple contredire la théorie des pulsars.

Certains astrophysiciens prétendent que Les pulsars seraient des corps célestes qui tourneraient très vite sur eux-mêmes, ce n'est pas impossible.

Il est également probable que les pulsations reçues par les antennes des radiotélescopes, sont simplement un battement de deux fréquences presque identiques à la réception.

Il suffit pour cela simplement que deux corps célestes, comme deux galaxies, ou voir même deux univers complets, soit, un amas de galaxies, se trouvent en alignement par apport à l'antenne qui reçoit, et que ces corps célestes émettent des fréquences identiques au départ, probablement de la lumière.

Quand nous savons que plus les étoiles sont loins plus leur lumière vire vers le rouge, il faut en déduire que les longueurs d'ondes que nous recevons augmentent, d'autant plus que les corps célestes sont loin, donc leur fréquence ralenti.

Il est fort probable que ces corps célestes sont tellement loins, que les ondes radio que nous recevons, à leur départ étaient de la lumière.

Il n'est pas improbable que les pulsations reçues par les antennes des radiotélescopes, sont simplement une sorte de battement de la même manière que le fading radio.

Pour les personnes non averties, je rappelle que deux fréquences ensemble se soustraient, ce qui a pour effet de produire des battements.

Par exemple, si nous écoutions deux sons en même temps, et qu'il y en est un qui a une fréquence de 100 périodes à la seconde, et l'autre de 99 périodes à la seconde, nous entendrons un battement, soit une augmentation et diminution périodique du son toutes les secondes.

Ce phénomène nous l'entendons couramment lorsque nous sommes en voiture arrêtés à un feu rouge, et qu'une autre voiture est à coté de nous, si les moteurs tournent presque à la même vitesse nous pouvons percevoir quelques fois ce battement.

Nous savons maintenant qu'un courant électrique oscillant à une fréquence très rapide, produit des ondes radio, qui se propagent à la relative vitesse de la lumière.

Je rappelle toutefois que dans cette théorie, la lumière ne se déplace pratiquement pas, il en est de même pour les ondes, et les courants électriques.

Il faut également savoir ce qu'est une longueur d'onde.

La longueur d'onde, est la distance qui sépare deux oscillations à 300000 kilomètres à la seconde, exemple une fréquence de 27 mégas hertz, soit vingt-sept millions de périodes à la seconde, aura une longueur d'onde de 11,11 mètres.

Pour trouver cela il suffit de diviser la distance parcourue, soit 300000 kilomètres, par la fréquence de 27 mégas hertz, = 11,11 mètres, cela correspond à la distance qu'il y aura entre deux périodes, cela est la longueur d'onde.

Les ondes radio, les infra rouge, la lumière, les rayons ultra violets, les rayons x, la radio activité, et les neutrinos, sont exactement de même nature.

La seule chose qui les diffèrencie, est qu'ils n'ont pas la même fréquence.

Dans l'ordre croissant des fréquences, nous avons les ondes radio, les rayons infrarouges, la lumière, les rayons ultra violets, les rayons x, la radio activité, et les neutrinos.

Il n'est pas impossible qu'il existe des ondes de formes indécelables engendrées par les atomes de la matière, quand elle n'est pas portée à l'incandescence, ou excitée électriquement.

La lumière, ainsi que toutes les ondes doivent probablement avoir la différence suivante avec la matière.

Les atomes du soleil portés à l'incandescence par l'accélération qu'ils subissent, engendrent des vibrations dans l'éther environnant, il faut bien penser que ces vibrations seront dans le sens inverse de celles que la matière engendre.

Exemple, si vous marchez dans de la neige fraîche, vous allez laisser des empreintes de pas, ces traces seront comme le moulage de vos chaussures à l'inverse de celles-ci.

Nous pouvons prendre aussi l'exemple suivant, un pignon en entraînant un autre, il va de soi que le pignon entraîné tournera dans l'autre sens.

Donc je dois en déduire que les ondes, et la lumière, vibrent dans le sens inverse de la matière, soit en opposition de phase.

Je noterais en passant que si la lumière par exemple, était de la même fréquence que la matière, elle serait donc forcément de l'antimatière.

L'opposition de phase s'explique de la manière suivante.

Si deux personnes poussent une voiture par l'arrière, ils la pousseront en phase, les forces des deux personnes vont s'ajouter, la voiture va avancer, mais par contre si une personne pousse par l'avant, et l'autre par l'arrière, ils la pousseront en oppositions de phase, et leurs forces vont s'annuler, la voiture ne se déplacera pas.

Il est probablement possible que la théorie du big bang soit fausse, il est dit que plus les étoiles sont loin, plus elles semblent s'éloigner, pour déduire cela, les scientifiques actuels se basent sur l'effet Doppler, suite à une explosion gigantesque.

Pour ceux qui ne connaissent pas l'effet Doppler, c'est le phénomène que nous constatons quand une voiture passe assez vite sur une route en klaxonnant.

Quand elle se rapproche de nous, le bruit de son Klaxon est plus aigu, dès qu'elle est passée et qu'elle s'éloigne de nous, le bruit de son Klaxon devient plus grave.

Cela s'explique de la manière suivante.

La vitesse de propagation du son dans l'air est constante, elle est toujours la même, alors que la voiture se déplace, lorsqu'elle vient vers nous, le son que son Klaxon émet ne va pas plus vite, ce sont donc les vibrations sonores du Klaxon qui sont plus rapprochées, comme si elles étaient comprimées, et lorsque la voiture s'éloigne, c'est le contraire, les vibrations sonore du Klaxon sont plus éloignées, donc le son nous paraît plus grave.

La lumière blanche est composée de toutes les couleurs, et ce qui diffèrencie ses couleurs, c'est la différence de leur fréquence.

Le bleu a par exemple une fréquence plus élevée que le rouge.

La lumière étant de même nature que les ondes radio, ainsi de même que toutes les radiations, nous comprendrons aisément qu'un objet qui émet de la lumière en s'éloignant très vite de nous, effet Doppler oblige, la lumière que nous percevrons virera vers le rouge.

Exemple, imaginons un objet qui irait suffisamment vite en s'éloignant de nous, et qui émettrait que de la lumière bleue, il nous serait possible de percevoir cette lumière comme du rouge, et si sa vitesse est encore plus grande, ce n'est même plus de la lumière que nous recevrions, mais des ondes radio.

Bien qu'elle paraisse être logique, la théorie du big bang n'est vraiment pas sure.

Il faut bien admettre qu'il a été constaté que lorsque quelque chose se déplace dans l'espace, pour l'objet en question le temps ralentit, ce qui veut dire que la vibration des atomes lors d'un déplacement ralentit.

Donc par leur petite vitesse de déplacement, les photons se déplacent dans l'espace, de ce fait ils sont contraints à changer de dimension, ce qui a pour effet d'augmenter leur longueur d'onde, donc de ralentir leur fréquence.

Si bien que plus ils parcourent de chemin, plus ils virent vers le rouge, et à la longue du temps, et de distance parcourue, voir même la lumière se transformer en onde radio, qu'il nous est impossible de voir même avec les meilleurs télescopes optiques.

Cela veut bien dire, que nous ne pourrons jamais voir les confins de l'univers.

Cela se confirme tous les jours, car si c'était le cas nous devrions avoir un ciel blanc même la nuit, devant le nombre géant d'étoiles, et de galaxies existantes, nous devrions également voir au moins toutes les minutes, ou toutes les secondes, des super novæ, vu le gigantisme des explosions de certaines, et le gigantisme de l'univers.

Il a également été constaté qu'en envoyant de la lumière sur la Lune, lorsqu'elle nous revenait sa longueur d'onde était plus grande, de ce fait il a été déduit trop hâtivement, qu'en vertu de l'effet Doppler, la Lune s'éloignait de nous de 4 centimètres par an.

Partant de cette observation, il n'est même pas certain que nous pouvons calculer la lenteur de la vitesse de la lumière, car si nous pensons instantanéité, il n'y a même plus de distance du tout.

De plus pour que la Lune s'éloigne de la terre, il faudrait que sa vitesse de rotation sidérale augmente, je me demande bien où elle pourrait puiser l'énergie nécessaire pour cette action, et quand nous savons que les champs magnétiques, ou gravitationnels diminuent au carré de la distance, la lune devrait s'éloigner de plus en plus vite.

A mon avis je ne pense pas du tout qu'il y ait eu un big bang tel que les scientifiques le décrivent, vous devez bien penser que si j'écris cela, c'est que j'ai mon idée.

Je me dois de vous l'expliquer maintenant. Imaginons, ou je devrais plutôt dire, n'imaginons pas, le néant.

Car le simple fait de dire le néant, ou même d'y penser, il n'existe déjà plus.

Alors donc, pas de néant, ni jamais, ni toujours, rien...

A un moment donné, pourquoi, et comment ?

Une petite vibration, qui d'ailleurs, ne se produit nulle part, puisque avant rien...

Cette petite vibration, est quand même le premier atome d'hydrogène, donc maintenant plus de néant, mais autour de cet atome un grand vide absolu.

Cette petite unique vibration qui est le premier atome d'hydrogène, est donc un petit champ magnétique, qui instantanément va créer autour de lui une sorte de champs magnétique inverse, en opposition de phase.

Cela doit être l'antimatière.

Comme c'est le grand vide autour de cette antimatière, et dans une distance équivalente au diamètre du premier atome d'hydrogène, produira à son tour un autre champ magnétique inverse, qui lui se divisera autour du premier atome, en plusieurs autres atomes d'hydrogène, et ainsi de suite, pour essayer de combler le vide absolu.

Cela me fait penser à une théorie dite fractale.

Je dirais plutôt que cette action, est une sorte de cristallisation du néant, et non un big bang.

Je pense que cette action continue quelque part, aux confins de l'univers, et que celle ci se produit à la vitesse relative de 300000 kilomètres à la seconde.

Une fois les premiers atomes d'hydrogène formés, il a suffi qu'un seul d'entre eux, aie eu un petit mouvement, pour qu'ils se mettent tous à bouger, c'est la théorie du cahot.

C'est à ce moment là qu'ils ont acqui une masse.

Grâce à leur mouvement, ils ont donc acqui un petit champ magnétique secondaire indépendant, émanant d'eux.

C'est ensuite, et grâce à cela, qu'ils ont eu la possibilité de s'attirer, ils se sont donc agglutinés par paquet, pour former les étoiles, où les autres matières se sont formées par le biais de la fusion, due à la pression, et la chaleur provoquée par l'accélération.

Nous recevons également venant de toutes les directions, et en permanence de l'univers, une fréquence dont la longueur d'onde est de 21 centimètres, c'est cela qui produit la neige que nous voyons sur les écrans de nos téléviseurs, lorsque aucune antenne y est branchée, ou quand il n'y a pas d'émission.

Chose étrange, par le biais de ces 21 cm de longueur d'onde, certaines personnes prétendent communiquer avec l'au-delà.

Elles feraient apparaître des visages de défunts sur des écrans de télévision par le biais de magnétoscopes, et de caméras.

Cela n'a peut être rien d'extra ordinaire, pourquoi pas ?

Car nous pouvons en déduire que notre esprit, est de même nature que les ondes, ainsi que la lumière.

Je décomposerai donc la chose de manière suivante.

Il est indiscutable que la lumière est issue de la matière, il est aussi certain qu'il en est de même pour notre esprit.

Nous pouvons donc raisonner de la manière suivante.

Il est bien mis en évidence à l'heure actuelle que nous voyons des étoiles dont la lumière à mis plusieurs milliards d'année pour nous parvenir.

J'en déduis tout simplement que la lumière est éternelle, si rien ne vient la modifier, ou l'interrompre.

Notre esprit étant de la même origine que la lumière, c'est à dire qu'il provient de la matière, je ne vois pas pourquoi lui n'aurait pas les mêmes propriétés, soit l'éternité.

Par ce raisonnement il est facile de faire la relation entre ce qui est soit disant rationnel, ou irrationnel, pour moi l'irrationnel, n'est pas plus irréel, que le rationnel, ou vice, et versa.

Cette théorie vient bien consolider le doute de l'immortalité de notre esprit, je crois que nous avons tous intérêt à nous méfier de nos actes tout au long de notre vie, car l'éternité, cela doit être long pour méditer.

Pour en revenir au 21 cm de longueur d'onde il s'avère que cette longueur d'onde est celle de l'hydrogène, je ne pense pas que ce soit un écho du big bang comme il a été dit, mais cela doit être plutôt un produit de la mise en phase, et en déphasage permanente des atomes d'hydrogène se trouvant dans l'univers, qui subissent bien sur l'expansion par saccades.

Ce qui me laisse penser également que cette fréquence de 21 cm, fait partie des ondes de forme, je pense que cela est, ce que EINSTEIN appelait les bosons.

Des chercheurs se sont aperçus, que l'électron de l'atome d'hydrogène, retourne sans cesse dans son noyau sans aucune explication.

Je propose d'expliquer cela de la manière suivante.

Comme l'atome est un petit champ magnétique fermé sur lui-même, qui vibre en s'inversant sans cesse par saccades, se retournant constamment, qui est donc remis en question en permanence, il est facile de comprendre qu'à un moment donné, il se trouve à une position neutre, c'est à dire qu'il n'existe plus.

C'est à cet instant précis que les scientifiques doivent avoir l'impression que l'électron retourne dans le noyau (comme un effet stroboscopique).

Quant aux fameux trous noirs, il doit obligatoirement y en avoir un au centre de chaque galaxie, car ils sont certainement dus à ce que tout le champ magnétique d'une galaxie, se concentre en son milieu, en y repassant.

Il est fort probable qu'une énorme quantité de matière se trouve dans les trous noirs, mais dans une dimension beaucoup plus petite que la notre.

Cette matière est en quelque sorte à notre niveau, effondrée, ou je dirais plutôt, qu'elle est en retard sur notre temps, relativement à celle dans lequel nous évoluons.

Il avait d'ailleurs été dit, que si la terre tombait dans un trou noir, elle serait réduite à la dimension d'une balle de tennis, tout en gardant la même masse, soit le même poids.

Donc en conclusion, les fortes concentrations de champ magnétique produisent une déformation du temps, ce qui laisse penser bien sur que le temps n'est pas de la même vitesse dans un trou noir, que dans notre dimension.

Le terme trou noir a été donné, par ce que la lumière n'est même pas capable d'en ressortir.

Seul des neutrons en ressortent, et les scientifiques ne nous donnent aucune explication à ce phénomène.

Il est certain qu'il y a une logique à cela.

Cette logique est probablement que les photons sont tellement comprimés, qu'ils font comme la matière sur les étoiles, ils fusionnent ensemble, pour donner naissance à des neutrons.

Quand nous savons que le neutron est une fréquence plus élevée que celle de la lumière, cela peut paraître logique.

Il n'est peut-être pas impossible, que notre univers se situe dans le trou noir d'une galaxie d'une dimension beaucoup plus grande.

L'univers dans sa généralité, n'est peut être qu'un enchevêtrement de dimensions différentes, et qui, évoluent toutes dans le temps, de manière parallèle.

Si la rotation de notre galaxie venait à ralentir, il n'est pas du tout certain que nous irions tomber dans le trou noir qui se trouve en son centre, comme il a été dit.

Je pense que ce soit plutôt la matière qui se trouve à l'intérieur qui en ressorte, car si la rotation de notre galaxie ralentissait, il va de soi que les forces de son champ magnétique passant par son milieu diminuerait, ainsi que la compression du trou noir central.

Ce qui lui permettrait de se libérer, soit, d'exploser.

Il est fortement possible que certaines super nova que les astrophysiciens observent, soient des galaxies qui éclatent littéralement, du au ralentissement de leur rotation, leur champ magnétique central, n'étant de ce fait plus suffisamment puissant pour contenir l'énorme quantité de matière s'y trouvant.

Les nébuleuses sont peut être le restant de galaxie qui ont explosé, peut être qu'un jour, si nous pouvons utiliser cette expression, la petite partie de l'univers où nous nous trouvons, ne sera peuplée, que de nébuleuses, à moins qu'à la longue du temps, elles se reforment en galaxies, en reprenant une rotation.

La radio activité des matériaux, tels que l'uranium, le plutonium, et cetera, est probablement provoqué, par ce que leurs atomes grossissent par tellement de saccades, leur fréquence étant tellement élevée et multiple, relativement à la vitesse de l'expansion, que nous obtenons finalement des battements de leurs vibrations, due probablement à un problème de synchronisation entre eux.

Cette radio activité, est probablement provoqué par le même genre de phénomène, des deux fréquences que nous additionnons, dont l'explication a été donnée en amont du manuscrit.

Il est fort probable, que par exemple, l'uranium est un matériau qui n'est pas fini, ou mal formée, car lorsque qu'il n'est plus radio actif, ou quand il est éteint, si nous pouvons nous exprimer ainsi, il se transforme en plomb.

J'en déduis donc, que s'il est radio actif, c'est que ses atomes ne sont pas en bonne synchronisation par rapport au temps qui s'écoule, ou avance.

Pour l'histoire de l'électricité, les premiers générateurs de courant étaient conçus de la manière suivante.

Il s'agissait d'un disque de verre que l'on faisait tourner sur lequel frottait une matière isolante, et des électrodes métalliques frottant sur le disque collectaient les électrons qui étaient soi disant arraché aux atomes de verre.

Pour moi l'explication ne va pas, par ce qu'en effet, si nous arrachons des électrons à la matière, elle devrait changer de nature.

Mais à la fin de chaque expérience, le verre est toujours du verre.

J'avancerais plutôt l'explication suivante.

Avec le frottement les atomes se mettent à tourner sur eux même tous dans le même sens, ce qui doit d'ailleurs déterminer le sens du courant électrique, je dirais même, que plus ils tournent vite, plus la force électromotrice est forte, soit le voltage, et plus le nombre sera grand plus l'intensité du courant sera grande, de là il a été établi la formule U = RI.

Comme là il s'agit de verre, donc de matière isolante, qui ne conduit pas l'électricité, il faut croire que les atomes de ce type de matière gardent indéfiniment le mouvement que nous leur donnons initialement, et ne se le retransmette pas mutuellement.

Quand l'électrode conductrice de l'électricité collecte le courant sur le disque, je pense que les atomes du verre retransmettent leur mouvement à ceux de ses mêmes électrodes.

Le courant électrique est expliqué actuellement par un déplacement d'électrons, c'est à dire qu'un premier atome d'un fil conducteur reçoit un électron, il en aura donc un de trop, ne pouvant pas le garder il en repassera un à l'atome voisin, qui en fera de même ainsi de suite.

Alors, là aussi je voudrai bien que l'on me confirme, comment il est possible d'arracher un électron à un atome de verre, sans même changer la nature de sa matière, alors qu'un autre atome ne peut pas garder un électron de plus, ou en avoir un de moins.

En physique j'ai constaté qu'il y beaucoup de contradictions comme celle ci.

L'explication ne peut pas convenir si l'atome est un petit champ magnétique, il n'est pas possible qu'il soit fait de trois parties, et pourtant les théories s'avèrent exactes, donc le neutron, le proton, et l'électron, sont simplement théorique.

L'atome étant une vibration, il va de soi que d'un coté la vibration sera positive, de l'autre elle sera négative, et le milieu sera forcément neutre.

Cela étant dit, dans un même instant, la partie positive sera le proton, la partie négative sera l'électron, et le milieu le neutron, nous comprendrons bien maintenant pourquoi, que le tout ne fait qu'un.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est possible même d'avancer la théorie suivante.

Le proton, et l'électron, changeraient d'état sans cesse, c'est à dire que l'électron serait alternativement, tantôt électron, ou proton, ce qui se traduira par la conclusion suivante, l'atome est tantôt positif, tantôt négatif, et tantôt neutre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous comprendrez pourquoi il ne m'est pas possible de faire ce croquis à l'échelle réelle aux proportions de ce qu'il se produit, car la page ne serait pas suffisamment grande.

Il va de soit qu'une seconde plus tard c'est à dire pour représenter l'atome futur, cette page devrait être 300000 fois plus grande.

Pour en revenir au courant électrique, il est fort probable que ce ne soit que simplement le premier atome qui fait tourner le second, qui fait tourner le troisième, et ainsi de suite, de la même manière que les pignons d'un engrenage.

Il faut croire que l'entre matière, ou l'antimatière, joue un rôle de pignon intercalaire, car il va de soi, pour qu'à fin que le courant ait un sens, les atomes doivent tous tourner tous dans le même sens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y a aussi plusieurs autres manières de faire de l'électricité qu'avec un disque de verre, il y a la pile de Volta, la magnéto, la dynamo, ou l'alternateur, le Thermos couple, et la cellule photo électrique.

La pile de volta produit du courant par le simple fait de mettre en contact deux matières différentes conductrices ensemble, par le biais d'une électrolyse, comme par exemple de l'eau salée, c'est à dire par exemple deux métaux diffèrent, comportant des atomes également différents, la pile de Volta est la pile électrique dont nous nous servons dans nos lampes de poche, ou dans nos postes à transistors, montres, et cetera.

Ce qui se produit probablement à ce moment là, est qu'au moment où les atomes différents se côtoient par l'intermédiaire de l'électrolyse, leur fréquence n'étant pas les mêmes, il doit là aussi se produire un battement, qui les met en déséquilibre, et les fait tourner sur eux même, de la même manière qu'un moteur électrique, et qui en suite retransmettent leur mouvement aux atomes voisins par le biais, des autres atomes d'un fil conducteur.

La manière dont le courant électrique est engendré avec une magnéto, une dynamo, ou un alternateur, est encore différente des deux premières explications.

Il suffit par un mouvement mécanique, de déplacer un champ magnétique, qui lui fait tourner les atomes.

Cela me donne de plus en plus, la conviction que le courant électrique, n'est pas un déplacement d'électrons, mais un mouvement des atomes.

Il faut savoir que lorsque nous faisons passer un courant électrique dans un fil, cela crée un champ magnétique, et qu'inversement quand nous déplaçons un champ magnétique à proximité d'un fil, cela crée un courant dans le fil.

Les champs magnétiques, le courant électrique, et la matière, sont trop étroitement liés pour que nous puissions penser autrement maintenant, en tournant les atomes produisent un champ magnétique, et inversement un champ magnétique fait tourner les atomes.

Pour en revenir au fonctionnement de la magnéto, de la dynamo, ou de l'alternateur, lorsque nous faisons tourner leur rotor, qui lui émane un champ magnétique que nous déplaçons par le mouvement, nous faisons donc tourner les atomes de la matière du fil, qui constituant le stator.

Un Thermos couple est constitué de deux métaux différents soudés ensembles, et si nous les faisons chauffer cela produit du courant.

Il ne faut pas oublier que la chaleur elle-même est composée de rayonnements infrarouges, donc là aussi ce sont des vibrations, soit des fréquences.

Dans le Thermos couple, quand les deux atomes de matières différentes, donc de fréquences différentes, sont agités par la fréquence des infra rouges, ils sont déséquilibrés probablement par les interférences que les infra rouges créent, et doivent tout simplement se mettre également à tourner, c'est comme cela que fonctionnent les piles à combustible.

Pour les cellules photo électrique, ce sont les fréquences de la lumière qui eux viennent déséquilibrer des atomes différent de silicium, probablement, dans le même processus que dans le Thermos couple.

Je reviens au premier générateur de courant, soit le disque de verre, ce courant là tant qu'il est dessus, s'appelle courant statique, par ce qu'il est bloqué sur de la matière isolante.

Il s'agit certainement en réalité d'atomes qui tournent indéfiniment dans le même sens, si rien ne les arrête.

Nous pouvons constater le même genre de phénomène sur les bandes magnétique du genre magnétophone, ou magnétoscope, là dans ce cas, les atomes ne tournent pas, tout au contraire ils sont bloqués indéfiniment, nous dirons qu'ils sont orientés.

Je suis arrivé à en déduire que la mémoire de la matière se trouve dans le mouvement statique, ou l'immobilité de l'atome.

Il ne faut pas oublier l'inertie qui est également une mémoire de la matière, le fait de lancer votre voiture à une certaine vitesse, et de repasser au point mort, et de la laisser rouler sans freiner, prouve bien que la matière garde en mémoire le mouvement, ainsi que les planètes tournant indéfiniment les une autour des autres.

Il faut savoir avant d'aborder les explications suivantes, que la lumière blanche est composée de toutes les couleurs en même temps, et que lorsque vous regardez un objet de couleur rouge, cela est du à ce qu'il ne renvoie que la lumière rouge, et qu'il absorbe toutes les autres couleurs, qui d'ailleurs vont se transformer en infrarouges, dans la matière de l'objet.

Un exemple : les feuilles vertes des arbres absorbent la lumière rouge, et la lumière bleue, et réfléchissent la lumière verte.

Alors pourquoi des matériaux différents, réfléchissent des couleurs différentes ?

Cela peut s'expliquer de la manière suivante.

Il suffit de savoir, que la matière, et la lumière sont des fréquences soit des vibrations.

La lumière blanche étant composée de plusieurs fréquences, donc de toutes les couleurs, si toutes ces fréquences arrivent sur une matière qui reflète le bleu par exemple que se passe t-il ?

Cela est facile à comprendre.

Les fréquences des atomes de surface qui réfléchissent la lumière bleue, vont enter en résonance par exemple, avec les fréquences de la lumière rouge, et verte, de la lumière blanche, qui eux vont être absorbés, en se mélangeant aux fréquences des atomes, et se transformeront en fréquences infrarouges beaucoup plus basse.

Seul le bleu de la lumière ne trouvera pas de fréquence correspondante, et sera renvoyée, elle sera donc réfléchie.

Pour les personnes non averties, j'explique la résonance.

Si deux guitares se trouvent dans une même pièce, et qu'elles sont accordées de manière identique, si nous grattons par exemple la corde sol d'une des deux guitares, cette note fera vibrer par le biais de l'air, la corde sol de l'autre guitare, nous dirons qu'elle entre en résonance, c'est d'ailleurs comme cela que fonctionne notre ouïe, ainsi que les récepteurs radio, et de télévision.

Il faut en déduire que la fréquence moyenne des atomes, des matières, d'apparences noires, avec la lumière blanche, est l'infrarouge.

Car cela est bien connu, un objet de teinte noire exposé au soleil chauffera, alors qu'un blanc, lui renverra toute la lumière qu'il recevra, et restera froid.

Il y a aussi la transparence du verre à expliquer.

Etant donné que la lumière ne se déplace pas, ou que très lentement, comment fait-elle pour traverser le verre ?

Le verre est bien sûr fait d'atomes comme toute la matière, et cependant EINSTEIN ne s'était pas beaucoup avancé sur ce sujet, il disait simplement que c'était une matière spéciale.

La transparence du verre peut s'expliquer de la manière suivante.

Il est fait de plusieurs atomes différents, et ces atomes forment des molécules, qui ont certainement un diamètre correspondant à la longueur d'onde moyenne des couleurs, ou fréquences de la lumière blanche.

Si nous décomposons le mouvement de la lumière lorsqu'elle traverse une plaque de verre.

Les deux faces de la plaque de verre, suite à l'expansion dans le temps s'éloigne.

Quand une de ses deux faces rencontre un photon, au lieu de le réfléchir, elle l'absorbe, étant donné la structure du verre.

En suite le photon voyagera de molécule en molécule pour aller rejoindre l'autre face.

Nous comprendrons bien que l'autre face, suite à l'expansion aie tendance à le fuir.

Mais comme le photon se déplace doucement, il finira par la rattraper pour en ressortir.

C'est à ce moment là que nous constaterons un ralentissement de la lumière, qui n'est que relatif à la matière en expansion.

Il est compréhensible que si la lumière était immobile, qu'elle ne se déplacerait pas, elle ne pourrait pas traverser le verre, et dans tous les cas, nous serions dans le noir absolu, car elle ne pourrait pas être réfléchie par les objets.

Le passage de la lumière dans un prisme, montre bien quand il la diffracte, que le comportement de la fréquence des différentes couleurs, est fonction de l'expansion accélératrice.

Nous remarquerons que la lumière blanche qui traverse un prisme est diffracté de la manière suivante.

La lumière rouge, si nous tenons compte de l'expansion du prisme, passe moins de temps dans le verre que la lumière bleue.

Pour la raison suivante, qui est que le bleu est dévié beaucoup plus que le rouge, et quand nous savons que la longueur d'onde du rouge est plus grande que celle du bleu, cela peut se traduire de la manière suivante.

Le rouge lui voyagera par exemple en chevauchant de trois molécules, par trois molécules, alors que le bleu lui sera obligé de passer, molécule par molécule, donc le bleu ira obligatoirement moins vite, et restera plus longtemps en mémoire dans le verre du prisme, étant donné que le prisme subit obligatoirement l'expansion.

La couleur bleue ne pourra pas ressortir au même endroit que le rouge.

Si le rouge lui passe de trois en trois molécules, c'est parce que sa longueur d'onde est plus grande que celle du bleu.

Pour expliquer plus clairement ce qu'il ce passe imaginons un enfant avec son père traversant une rivière peu profonde, que l'on peut traverser en marchant sur des pierres disposées régulièrement, qui dépassent de l'eau, c'est à dire à gué.

L'enfant a des jambes plus petites que son père, il ne pourra traverser qu'en empruntant toutes les pierres, alors que son père ayant les jambes plus grandes, il ne sera pas obligé de marcher sur toutes les pierres, il les passera trois par trois, il ira donc plus vite.

Nous pouvons donc comparer l'enfant à la lumière bleue, et son père à la lumière rouge.

Sur le photon il y à débattre, car certaines personnes disent qu'il s'agit de particules de lumière, je pense là aussi que la définition n'est pas tout à fait exacte, je dirai plutôt qu'un photon, est un amalgame de plusieurs fréquences.

Il est dit que le photon est un grain de lumière, cela est la théorie corpusculaire, alors que ce même photon est composé de plusieurs fréquences, cela est la théorie ondulatoire.

Il n'y à plus qu'à en déduire que la théorie corpusculaire et ondulatoire ne font qu'une.

C'est de cette manière que je ferai la jonction entre les deux.

En tous les cas nous ne percevons que trois couleurs, je les cite dans l'ordre croissant des fréquences, le rouge, le vert, et le bleu.

Le jaune par exemple nous ne le voyons pas, ainsi que le violet, et également cyan, c'est à dire un vert bleuté.

Il faut savoir pour comprendre que notre œil ne perçoit lui, que ces trois couleurs.

Notre rétine est tapissée de cellules s'appelant cônes, et bâtonnets, ce sont des récepteurs qui réagissent indépendamment aux couleurs de la lumière, et qui sont bien sûr reliés à notre cerveau par l'intermédiaire du nerf optique.

Les cônes ne nous servent qu'à distinguer les couleurs, certains reagissent qu'aux fréquences rouges, d'autres aux fréquences vertes, et d'autres aux bleues.

Les bâtonnets eux servent qu'à distinguer les différences de luminosité, c'est à dire que si nous avions que des bâtonnets, nous ne verrions qu'en noir et blanc.

Certaines personnes ayant des malformations des cônes ne perçoivent pas correctement les couleurs, ce sont les daltoniens.

Pour les autres couleurs que le rouge, le vert, et le bleu, c'est notre cerveau qui fait la synthèse, cela s'explique de la manière suivante.

Quand nos cônes sensibles à la lumière rouge et à la lumière verte reçoivent les fréquences de ces lumières en quantité égale, notre cerveau nous donne la sensation du jaune, c'est à dire que nous avons que la sensation de percevoir la couleur jaune, si ce sont les cônes correspondant aux rouge et aux bleu qui sont excité de manière égale, nous avons la sensation de percevoir du violet, et la couleur cyan, pour le vert, et le bleu, si les trois couleurs nous arrivent à une intensité égale nous aurons la perception de lumière blanche.

Il est important de signaler que la télévision couleur fonctionne sur ce principe, il suffit de superposer, ou entrelacer une image rouge, une image verte, et une image bleue, dosée de différentes manières sur l'écran d'un tube cathodique, pour que nous percevions des images faites de toutes les couleurs.

Heureusement que nous ne voyons que trois couleurs, car s'il en était autrement les téléviseurs seraient plus compliqués à fabriquer.

En conclusion la perception de la fréquence de la vraie lumière jaune émise par exemple par les lampes à vapeur de sodium, excite nos cônes sensibles au rouge, et au vert, pour le vrai violet, se sont les cônes sensibles au rouge et au bleu, et pour la couleur cyan, se sont les cônes correspondant au bleu et au vert.

Pourquoi généralement l'axe des planètes est incliné ?

J'ai là aussi une réponse qui paraît logique, cela doit être dû à l'effet LORENTZ.

L'effet Lorentz, est le phénomène qui fait que lorsque nous faisons passer un courant électrique dans un liquide, par exemple de gauche à droite, le liquide se déplacera perpendiculairement de l'avent vers l'arrière, ou vice et versa.

Le fait que la terre tourne autour du soleil devrait nous donner un mouvement de position perpendiculaire par apport aux deux champs magnétiques des deux corps célestes, mais la force centrifuge dû à la rotation de la terre soit l'effet gyroscopique, ainsi que la distance qui la sépare du soleil, empêchera cette position qui devrait être de 90°.

Les planètes ont probablement pris leur inclinaison au moment de leur formation.

Il est même probable que la terre au début devait tourner de la même manière que la planète mars, c'est à dire sur un axe excentrique, elle a du se stabiliser à la longue du temps, et garder cette inclinaison grâce à l'effet gyroscopique.

Il ne reste plus qu'à en conclure que l'inclinaison de l'axe d'une planète est fonction de sa vitesse de rotation, de sa masse, de la masse du corps céleste orbité, et de la distance qui sépare les deux corps.

L'inclinaison de 90°, dont je parle dans les quelques lignes en amont, a d'ailleurs été constatée par des sondes spatiales pour la planète Uranus, qui elle se trouve bien sur beaucoup plus loin du soleil que la terre.

Donc, ceci démontre bien que l'inclinaison de l'axe de la terre, soit bien en fonction de la description du chapitre précédent.

Cela doit nous laisser penser que la Lune nous montre soit son pôle nord, ou son pôle sud magnétique.

Egalement, par les fragments d'anneaux torsadés de la planète Neptune, il devient encore plus facile de comprendre comment l'axe des planètes se sont inclinés.

C'est également une démonstration flagrante, qui à pu se produire du fait de la position éloignée du soleil de cette planète, qui fait que le champ magnétique de notre étoile est à cette distance obligatoirement plus faible, et ne perturbe pratiquement pas, ou que très peu, l'évolution de la matière qui tourne autour de Neptune.

Le fait que l'axe de la planète la plus proche du soleil ne soit pas incliné, qui est mercure, démontre encore bien plus que le champ magnétique de notre étoile, qui est donc plus intense, étouffe, et perturbe cet effet Lorentz, et dans un même temps freine sa rotation.

Vu de la terre les satellites géostationnaires décrivent dans leur évolution un huit, ce qui fait bien ressentir le processus qui oblige l'inclinaison de l'axe des planètes, ainsi que les torsades des morceaux d'anneaux de la planète Neptune.

La disparition des dinosaures à peut être un lien direct avec le changement de l'axe de la terre, à partir du moment où elle n'a plus tourné de la même manière que la planète mars, les climats ont du changer fortement, et cette planète n'était plus vivable pour eux.

Quand nous approchons deux aimants l'un à côté de l'autre, ou ils s'attirent, ou ils se repoussent !

Si nous approchons les deux cotés nord, ou sud, l'un accoté de l'autre, ils se repousseront, par contre si nous les présentons, l'un du coté nord, et l'autre du coté sud, ils s'attireront.

Quelle force mystérieuse provoque ce phénomène alors qu'il n'y a rien entre les deux ?

Les physiciens vous diront qu'ils se repoussent, ou s'attirent, parce que leurs atomes sont orientés, jamais ils ne nous diront ce qu'il se passe concrètement entre les deux.

Il est certain que tout simplement, que c'est l'éther qui retransmet les lignes de forces que les atomes orientés génèrent, je dirai que dans ce cas qu'ils provoquent, une déformation locale du temps.

Dans tous les cas un atome générant un champ magnétique, ce champ est une contrainte, ou déformation du temps.

La synchronisation des atomes ne se déplace qu'à 300000 kilomètres à la seconde, alors que la propagation des champs magnétiques, est instantanée.

Les atomes d'un aimant eux sont orientés, c'est à dire que ces atomes, eux échappent partiellement à cette vitesse de déplacement de la synchronisation, par le biais de leur champ magnétique, ils sont de ce fait presque synchronisé tout ensemble dans l'aimant.

Si bien que nous pouvons comparer l'ensemble d'un aimant comme un atome géant, et nous pouvons comparer tous les atomes de la matière comme des aimants microscopiques.

Si nous cassons une barre d'aimant en deux, et que nous rapprochons l'un contre l'autre les deux bouts où la cassure aura eu lieu, ils se repousseront au lieu de s'attirer.

Que ce passe t-il à ce moment là ?

La réponse que j'apporte, est tout simplement que l'ensemble des atomes des deux bouts sera soumis au décalage de la synchronisation, ce qui aura pour effet d'inverser dans le temps, la polarisation des champs magnétiques de 90° des deux morceaux d'aimant, soit 90°+90°=180°.

Pour que le bout des deux aimants une fois cassée s'attirent à nouveau, il faut que l'un des deux se retournent de 180°.

Si nous pouvions rassembler au même endroit, donc dans le même temps, de la matière, et de l'antimatière, les deux s'annulerons.

Des expériences ont déjà été réalisée à ce sujet, et comme un fait exprès au moment où la matière rencontre l'antimatière, cela produit un champ magnétique.

Comme tous les atomes sont des aimants microscopiques synchronisés, il nous est facile de comprendre l'état solide de la matière.

Il nous sera aussi facile de comprendre maintenant pourquoi lorsque nous chauffons des métaux à une certaine température ils passent à l'état liquide.

La chaleur étant d'ordre vibratoire, ainsi que l'atome, il va de soi que les fréquences de l'infrarouge vont interférer avec celles de l'atome, ce qui va provoquer automatiquement une désynchronisation, qui va déstabiliser l'équilibre des atomes entre eux par l'intermédiaire de l'antimatière, ce qui aura pour effet d'amener les métaux à la fusion.

De ce fait la synchronisation entre les atomes, et l'antimatière, doit se trouver légèrement décalée.

Il devient également facile maintenant de comprendre pourquoi la résistance électrique des métaux augmente lorsqu'ils chauffent, et qu'ils deviennent des supraconducteurs au zéro absolu.

Il est bien évidant là, que les fréquences des infrarouges perturbent, ou agitent les atomes de la matière, ceux ci ne tournant plus tout fait rond lorsqu'ils sont chauffés, étant perturbés par les fréquences infrarouges.

L'explication est peut être la suivante.

Au zéro absolu il n'y a plus d'infrarouge, il va de soit qu'il n'y a plus de perturbation, la mécanique des atomes tourne à la perfection, donc plus de résistance électrique et plus de pertes.

Nous pouvons faire la comparaison suivante pour le courant électrique, les atomes sont comme des petits pignons qui s'entraînent les uns, et les autres, si ces petits pignons sont chauffés, ils se déformeront, donc ils ne pourront plus tourner rond, ils auront même une tendance à ce coincer.

Alors qu'au zéro absolu ils ne se déformeront pas, ils tourneront parfaitement rond, et tout se passera bien, il n'y aura plus de résistance électrique car ils ne se coinceront plus.

Nous pouvons là même encore constater que si rien ne vient perturber le mouvement que nous donnons à un atome, il le gardera éternellement, puisqu'un courant électrique engendré dans un supraconducteur tournera indéfiniment.

La dilatation des métaux par la chaleur prouve bien, là aussi, que la fréquence des atomes est modifiée par celle des infrarouges, leur fréquence diminuant, par le même phénomène des fréquences qui se soustraient quand on les additionnent, il va de soi qu'ils auront besoin de plus de place pour évoluer, leur longueur d'onde étant plus grande, donc dilatation oblige.

Le filament d'une ampoule électrique lui aussi émet de la lumière, sans pour cela subir une très forte accélération comme sur le soleil, cela doit se produire de manière différente, mais avec le même résultat, que sur les étoiles.

Pour une quantité définie de courant circulant dans un fil conducteur, plus le fil sera fin, exemple comme un filament de lampe, moins il comportera d'atomes dans sa structure, alors les atomes devrons tourner plus vite sur eux même, pour propager cette même quantité de courant, ou de mouvement.

Il semblerait dans cette explication que là aussi les atomes ne supportent pas les trop grandes vitesses de rotation sur eux même.

Ils se déséquilibrent de la même manière que ceux qui se trouvent à la surface du soleil à cause de l'accélération trop grande qu'ils y subissent, générant des vibrations de l'ordre du photon.

Dans les explications scientifiques actuelles, il est dit que le courant électrique qui passe dans le filament d'une ampoule oblige les électrons à changer en permanence de couche, ce qui a pour effet de produire de la lumière, cela n'est certainement pas la bonne explication, car pour produire de la lumière il y a aussi la combustion, et n'oublions pas le soleil, ainsi que certaines réactions chimiques, les vers luisant, et certains poissons, voir même des champignons.

Il ne doit pas y avoir différente manière pour que la matière produise de la lumière, et il est certain que la matière est conçue de façon identique d'un bout à l'autre de l'univers.

C'est aussi une des raisons pour qu'il y ait également de la vie ailleurs que sur terre, et certainement de façon similaire, peut être meilleure que sur notre bonne vielle terre, parce que la race humaine a encore beaucoup à évoluer pour cela.

Ce qui me fait sourire, c'est que quand les auteurs de science fiction représentent les extraterrestres, ils les imaginent toujours plus laids que nous, pourquoi ce ne serait pas le contraire ?

Un morceau de matière si petit soit-il est un groupe d'atomes, un seul atome solitaire ne restera toujours qu'un atome de matière, et non un morceau de matière.

Ceci devrait pouvoir aider à expliquer les mystérieux vents solaires.

A la surface du soleil la température est telle que la matière est au-dessus de l'état gazeux, c'est à dire quelle est à l'état du plasma, les atomes à ce moment là sont complètement désolidarisés, pour certains d'entre eux, ils se trouvent dans leur agitation en opposition de phase, ou en contre temps, donc ils se repoussent les uns des autres, exactement comme les deux bouts de la cassure d'un aiment.

C'est à cet instant là qu'ils vont se repousser mutuellement pour finir par quitter le soleil à la vitesse de 450 kilomètres à la seconde.

Les atomes du vent solaire devraient quitter le soleil au moins à la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde, mais cela est impossible car un atome seul ne peut pas se déplacer en ligne droite compte tenu qu'il évolue déjà par l'expansion dans toutes les directions en même temps, et ce, à la vitesse de 300000 kilomètres à la seconde.

Il doit certainement se déplacer dans une trajectoire ressemblant au ressort à boudin, ce qui l'oblige à ralentir considérablement sa vitesse de déplacement.

Je conclurai donc que les vents solaires, sont des atomes libres, soit désolidarisés de la matière, ce qui me laisse également penser que la vitesse limite, ou critique, de la matière dans l'espace, est la même que celle des vents solaires.

Si un vaisseau spatial allait à 450 kilomètres à la seconde, les atomes dont il serait constitué auront une tendance à vouloir se déplacer de la même manière que ceux des vents solaires, mais comme ils se tiennent tous ensemble, c'est le vaisseau qui ne pourra pas aller plus vite.

Plus nous voudrions augmenter la vitesse du vaisseau, plus il subira une retenue, telle que la pression qui s'exerce sur un pare-brise de voiture avec l'air, mais la vitesse n'augmentera pas pour autant, les occupants à l'intérieur subiront également la même retenue, plus nous voudrions augmenter la vitesse, plus ils seront écrasés dans le sens inverse du déplacement.

Les occupants de ce vaisseau, subirons le même type d'accélération que nous subissons sur terre, et si nous augmentons encore cette vitesse sans pour autant que l'accélération continue à augmenter, à un moment donné c'est la température de la matière dont ils sont constitués qui augmentera.

Dans tous les cas, avant que la température augmente dangereusement, ils seront déjà morts écrasé sous leur propre poids.

Il est constaté que lorsque la lumière frôle un objet elle est déviée, il faut donc penser que par sa petite vitesse de déplacement, elle se comporte sensiblement comme la matière.

C'est à dire que les champs magnétiques ont une action sur elle, bien sûr très faible, ce qui laisse bien penser que plus les vitesses de déplacement sont grandes plus les champs magnétiques sont puissants.

Je pense également que la masse de la lumière n'est pas la même en fonction de sa couleur, le rouge devrait avoir une plus petite masse que le bleu.

C'est à dire que plus la fréquence des radiations est élevée, plus la masse est grande, les rayons gamma le prouvent, soit les neutrons.

Seul les neutrinos font exception, car là leur fréquence est tellement élevée qu'elle correspond à celle de l'atome, et comme les radiations sont en opposition de phase avec la matière, les neutrinos traversent celle ci sans encombre, encore plus facilement que la lumière dans le verre, je pense qu'il est possible de comparer les neutrinos à de l'antimatière.

C'est maintenant que cette théorie devient vraiment ahurissante, bien qu'elle semble tout à fait logique.

Donc la lumière se déplace certainement très doucement, tous les phénomènes physiques le laissent croire, mais il m'est impossible de lui donner une vitesse, je lui donnerai donc pour l'explication suivante, une vitesse imaginaire, par exemple un mètre à la seconde.

Si c'est le cas, en faisant abstraction du temps, soit l'expansion tridimensionnel de l'univers, comme il faut une seconde pour que la lumière du soleil réfléchie sur la Lune nous arrive, la Lune se trouve donc à une distance de un mètre seulement de la terre, dans l'instant.

Sachant qu'il faut huit minutes et vingt seconde, pour que la lumière du soleil nous arrive, le soleil ne se trouve lui qu'à une distance de cinq cents mètres de la terre, également dans l'instant.

La conclusion est que l'univers est tout petit pour la lumière, mais c'est le temps qui le rend aussi grand.

La vitesse réelle de déplacement de la lumière est relativement, et certainement, la même que son ralentissement quand elle traverse le verre.

Donc à la vitesse réelle de déplacement de la lumière, l'univers doit être minuscule.

Pourquoi à un certain moment est-il difficile d'aller de plus en plus vite dans l'espace ?

Il faut faire la comparaison suivante, l'action de déplacer de la matière est la même que de déplacer une bulle d'air prise dans un bloc de verre.

L'explication est la suivante.

La matière c'est la bulle d'air, et l'éther le bloc de verre, il nous sera impossible de la déplacer sans faire fondre le verre, quand la matière se déplace, ce n'est bien sur pas l'éther qui fond.

Le fait que l'atome existe que par intermittence, le déplacement de celui ci s'effectue au moment précis où il n'existe pas, donc même le déplacement le plus régulier, se fait par saccades également, et nous comprendrons bien que nous ne pourrons pas aller plus vite que la fréquence de la matière.

Cela se passe comme si pour nous déplacer il-nous fallait passer par des sas successifs, et qu'il y a, à chacun de ces sas, un temps d'arrêt incontournable.

C'est une des raisons qui nous interdit d'aller à des vitesses proches de 300000 kilomètres à la seconde.

Pour arriver à déplacer un vaisseau spatial à 300000 kilomètres à la seconde, il faudra déphaser toute sa matière pendant son déplacement, ceci ne pourra se faire que quand nous serrons capable de générer des fréquences de l'ordre de la matière.

Une des réponses à cette technologie, est dans le neutrino avec l'aide des supra conducteurs quand nous les maîtriserons bien.

Tout cela nous fait singulièrement penser aux OVNIS.

Pour nous, et pour le moment, seul notre esprit dans l'imagination est capable de se déplacer instantanément.

Le décalage du temps dans l'univers, donc l'expansion linéaire mais pas régulière, l'incompressibilité de l'éther, sont les raisons de l'existence de la pesanteur sur notre planète.

Il faut également parler de l'électron qui fait fonctionner le tube cathodique de nos téléviseurs, ainsi que les tubes amplificateurs, les tubes à rayon X de la radiologie, et cetera.

IL faut pour l'expliquer que je fasse un petit cours d'électronique, pour les personnes ne connaissant pas le phénomène à ce sujet.

Dans les tubes électroniques, il y a des tubes à deux électrodes ceux là se sont des diodes, ceux qui sont pourvues de trois électrodes sont des triodes, ceux qui ont en quatre sont des tétrodes, et cinq des pentodes et cetera.

Le tube électronique qui nous intéresse pour l'explication principale c'est la diode.

Il est donc composé en général d'un tube de verre vide d'air, dans lequel sont disposées deux électrodes, dont une sera la cathode, soit l'électrode négative, et l'autre sera l'anode l'électrode positive.

L'explication actuelle du fonctionnement est la suivante, à l'aide d'un filament nous faisons chauffer la cathode avec un courant électrique, il est dit alors que les électrons de surface de cette cathode changent de couche quand elle est portée au rouge, et lorsque nous appliquons une tension négative à la cathode, et une tension positive à l'anode, des électrons quittent la cathode pour aller sur l'anode qui les attirent, ce qui se traduit par le passage d'un courant électrique.

C'est de là qu'il a été déduit, que le courant électrique se déplace du moins vers le plus.

Nota: le sens réelle du déplacement du courant est du moins vers le plus, et le sens conventionnel est du plus vers le moins, et cela à cause d'avoir voulu conclure trop hâtivement cette théorie.

Pour permettre le passage des électrons il est impératif que le tube de verre soit vide d'air, autrement les électrons seraient gênés par les molécules du gaz, et ne pourrait pas circuler.

Les électrons commencent à circuler dans le tube aux environs d'une tension de 90 volts, il faut également savoir qu'il est impossible de faire passer le courant, soit les électrons dans l'autre sens.

Si nous appliquons aux électrodes d'une diode des tensions aux alentour trente-cinq mille volts, nous commencerons à avoir une émission de rayon X émanent de l'anode.

Plus nous augmenterons la tension plus les rayons X seront pénétrants, donc plus leur fréquence sera élevée, en radiologie il est utilisé des tentions allant jusqu'à cent soixante-dix mille volts, soit cent soixante-dix kilos volts.

Pour les tubes à amplification, il s'agit là de triodes, il comporte donc une électrode de plus, cette électrode ce nome la grille de commande, elle se trouve sur le passage des électrons entre la cathode et l'anode.

Nous constaterons, que dans la diode l'électron est attiré par la tension positive de l'anode, si les tentions positives attirent les électrons, il faut également savoir que les tensions négatives repousse ses même électrons.

Le fonctionnement du tube amplificateur est le suivant, si nous appliquons une tension de deux cents volts entre la cathode, et l'anode, il suffira d'appliquer une petite tension négative, par exemple de deux volts seulement sur la grille, pour que les électrons ne puissent plus passer, les électrons de 200 volts, seront repoussés par des électrons de 2 volts seulement.

C'est le principe de base de l'amplification.

Cela est donc l'explication scientifique actuelle du tube à vide.

Là je voudrais bien qu'avec cette théorie que l'ont nous explique exactement pourquoi lorsque nous faisons passer dans un tube électronique une tension de deux cent volts, il ne se passe rien, alors que quand nous faisons passer une tension de cinquante mille voltes, nous aurons une émission de rayons X, alors que les électrons sont toujours les mêmes.

Avec la théorie que j'ai imaginée, il est possible de donner une explication logique.

Quand nous savons que le fait de chauffer de la matière se concrétise par l'action de déformer des atomes, et le fait de les faire tourner sur eux même dans un même sens, c'est de créer un courant électrique, il va de soi qu'ils ne tourneront plus rond, s'ils sont déformés, ils sont donc excentrés.

De ce fait ils engendrent obligatoirement des vibrations, mais là ces vibrations ne serons pas comme celle de la lumière, c'est à dire en opposition de phase relative à la matière, elles seront cette fois ci en phase, c'est pour cela qu'il faut vider le tube des molécules d'air, car contrairement à l'éther, l'air a une masse, et cette masse absorbe les vibrations, et elles ne pourront jamais atteindre l'électrode positive, soi, l'anode.

Il est facile à comprendre maintenant que plus la tension porter sur les électrodes est élevée, plus les atomes de la matière la constituant, tournerons vite.

Donc de par l'excentricité des atomes chauffés de la cathode, plus la tension sera élevée, plus ils tourneront vite, plus la fréquence, ou les vibrations engendrées seront élevées, et ces vibrations tournantes, serons retransmises par le biais de l'éther, se trouvant dans le tube, ira faire vibrer les atomes de la matière constituant l'anode.

J'en déduis que les électrons qui circulent dans les tubes à vide, ressemblent aux atomes de la matière, étant donné qu'ils sont en phase avec celle ci, mais que leur fréquence est plus basse, nous pourrions donc les comparer à des atomes libres d'une dimension beaucoup plus grande.

Les champs magnétiques, et les fluctuations électriques, ont une action directe sur les électrons des tubes à vide.

C'est à dire que ces champs, et fluctuations électriques, sont capables de les dévier, ce qui laisse bien penser qu'ils sont similaires à la matière.

Les électrons des tubes à vide, ont de ce fait obligatoirement une masse.

Comme en physique, théoriquement toutes les actions sont réversibles, et que nous arrivons à fabriquer des fréquences, soit des vibrations en phase avec la matière, tel que l'électron des tubes à vide, je ne vois pas pourquoi un jour, nous n'arriverons pas à déphaser de la matière, afin de nous déplacer à la relative vitesse de la lumière, ou voir même peut être instantanément.

Je me dois de revenir sur les trous noirs.

Un physicien avait écrit dans son livre, qu'il pariait qu'il devait exister des micros trous noires, sur ce sujet je suis tout à fait d'accord avec lui.

Si nous analysons d'après ma théorie la conception de l'univers, il est rempli de lignes de forces soit de champs magnétiques, qui à certains endroits vont se croiser obligatoirement.

Aux croisements de ces lignes il y aura obligatoirement une concentration de champs magnétiques.

C'est à cet endroit que ces micros trous noirs se trouvent, comme tout bouge dans l'univers, il va de-soit que ces micros trous se déplacent, se font, et se défont.

Il est certain qu'ils doivent perturber l'endroit où ils se trouvent.

Un jour je pense en avoir fait les frais.

Cela se passait en fin de journée alors que circulait à bord d'une petite camionnette RENAULT du type 4L je me déplaçais d'OUEST en EST, à une vitesse de 60 kilomètres heure seulement, quand soudain mon véhicule se trouva poussé comme par une force irrésistible de manière transversale me déportant sur le coté gauche de la route, soit vers le Nord, à ce moment là devant la situation, en essayant de contrer mon déport vers la droite avec le volant, j'ai levé le pied de l'accélérateur, sans freiner par peur que la camionnette ne se déséquilibre, et ne se retourne, malgré cela mon véhicule à donc tourné de 45° sur la gauche pour finir sa course dans un champ labouré avec la chance de passer entre deux arbres, et de ne pas avoir d'autres voitures venant en sens inverse.

Lorsque mon véhicule fut immobilisé dans ce champ le moteur avait calé, étant donné qu'une vitesse était restée enclenchée.

Dans un premier temps j'ai donc pensé qu'une pièce mécanique avait cassé, je vérifiais donc la direction, qui bien entendu n'avait rient, je pensais alors éventuellement qu'un roulement de roue s'était bloqué, par la suite j'ai fini par conclure que ce n'était pas cela, j'ai donc actionné le démarreur afin de remettre mon moteur en route pour regagner la chaussée, c'est alors qu'un bruit anormal se produisit sous le capot, j'ai donc regardé ce qui pouvais faire ce bruit, et à ma grande surprise j'ai constaté que c'était l'axe qui maintenait la dynamos qui était cassé, sectionné à Raz de l'écrou de serrage.

Je dois signaler que le véhicule dans ce qui c'était passé, n'a subit aucun choc qui aurait pu provoquer cette cassure, alors que cet axe à un diamètre d'au moins 2,5 centimètres, je ne pense pas que cela puisse casser sans choc, je croie d'ailleurs que les ingénieurs de chez RENAULT penseront comme moi.

Donc pour repartir j'ai du démonter cette dynamo, mais je signalerai toute fois que sans faire d'autres réparations que de changer cet axe, j'ai pu refaire au moins 40000 kilomètres par la suite, sans autres incidents mécaniques.

J'ai longtemps cherché ce qui avait pu se passer, je soulève aujourd'hui l'hypothèse que j'ai croisé ce jour là le passage d'un de ces micros trous noirs, ou plutôt un nœud de champs magnétique.

Je pense que c'est la dynamo qui entrant en interaction avec ce champ magnétique, qui a entraîné mon véhicule de la sorte.

En raisonnant de cette manière, si des nœuds de champ magnétique très intense peuvent se produire, il ne serait pas étonnant que les combustions spontanées de personnes aient un rapport direct avec.

De par mes activités professionnelles un jour je suis arrivé chez de braves gens pour y installer une antenne de télévision, en arrivant chez eux ils m'ont demandé d'orienter la nouvelle antenne sur un relais bien précis afin, de recevoir des programmes bien particuliers.

En temps que professionnel je leur ai répondu que ce n'était pas possible, car un monticule de terre se trouvait dans le passage des ondes, entre l'émetteur et la future antenne, c'est alors qu'ils m'ont montré que cela fonctionnait dans une pièce de la maison avec une antenne portative.

Après avoir fait des essais moi-même, j'ai pu constater que cela fonctionnait parfaitement dans un volume cubique bien précis, dont les cotés avaient une dimension d'environ trente centimètres de longueur, à première vue cela n'est pas explicable, quand nous savons que les ondes que nous utilisons en télévision se déplacent de la même manière que la lumière, c'est à dire à vue, soit en ligne droite.

Pour en finir quand j'ai terminé d'installer la nouvelle antenne sur le toit, mon diagnostic c'est avéré exact, car il était impossible de recevoir des images et du son provenant de cet émetteur.

Il est possible que j'ai reçu dans la pièce de leur maison, une onde du même genre qu'un mirage, qui aurait voyagé en suivant une quelconque ligne de force magnétique, j'aurais bien voulu savoir si cette onde voyageait de ce fait instantanément, ou en passant normalement par les 300000 kilomètres seconde, mais hélas, je ne possédais pas d'instruments de mesure nécessaire pour le contrôler.

Suite à cette constatation, il est possible d'en déduire que certaines observations d'OVNI peuvent être un genre de mirage, et qu'à ce moment là les témoins de ces apparitions, voient la projection d'une image d'étoile lointaine, ou d'un autre univers d'une autre dimension.

Reste à savoir si ce genre d'image voyage instantanément comme les lignes des champs magnétiques.

Il faut remarquer que beaucoup de témoignages d'OVNI se situent en région montagneuse, il y a là certainement des concentrations de lignes de forces de champs magnétiques plus importantes qu'en plaine, dû à la masse plus grande, et discontinue de matière que forment les montagnes.

J'ai eu l'occasion par un ami, d'avoir un témoignage sérieux d'une apparition d'OVNI en Auvergne, il disait avoir observer un disque lumineux en compagnie de plusieurs personnes, il me racontait avoir eu l'impression que la lumière semblait rentrer dans le disque, à l'inverse d'en ressortir comme habituellement, et ce disque après quelques minutes d'observation, a disparu soudainement d'une manière magique, m'a t il dit.

Cette sensation de lumière rentrante est peut-être due à ce que cette image voyage instantanément, il se peut que ce genre de lumière change notre manière de voir, à mon avis cette lumière n'a aucune vitesse de déplacement, puisqu'elle doit être retransmise, ou véhiculée par de probables lignes de forces magnétiques.

Je souligne que quelque chose qui se déplace instantanément, ne peut pas avoir de vitesse de déplacement, cela est logique.

C'est là qu'il est facile de comprendre, que le temps s'arrête si nous nous déplaçons instantanément.

Dans l'idée générale nous comprendrons bien que si nous allions à 300000 kilomètres à la seconde, en réalité nous sommes immobiles relativement au temps.

Etant donné l'immensité de l'univers, il est probable qu'il y a quelque part de la vie avec une technologie supérieure à la notre, une conclusion qui fera au moins plaisir aux adeptes des ovnis.

Il a été dépensé des sommes gigantesques pour chercher comment pouvoir tirer de l'énergie de la matière sous forme de plasma, c'est à dire la fusion Thermo nucléaire, et cela n'a jamais rien donné.

De la manière dont je pense que le soleil fonctionne, cela n'est pas possible, les chercheurs ont étés trompés par l'intrigue de la foudre en boule.

J'ai pour ma part pu observé plusieurs fois ce phénomène, je l'ai vu cheminer à proximité d'un pont métallique sans que sa trajectoire soit déviée par quelque influence magnétique, je l'ai vue traverser une vitre de fenêtre où elle avait laissé un trou de quelques millimètres de diamètre alors qu'elle paraissait avoir une taille d'une vingtaine de centimètres, je l'ai vue également se former, si je veux en parler c'est que je me suis fait une opinion avec une théorie sur ce sujet.

Si je tiens à en parler, c'est que je n'ai encore jamais entendu, ou lu, une explication logique sur la manière dont cela ce produit.

Un jour d'orage un éclair a éclaté dans un nuage, dans une partie de cet éclair il y a eu un endroit plus lumineux, quand celui ci fut terminé, à l'endroit où il avait émis une intensité plus grande de lumière, il est parti une boule qui ne s'était pas éteinte, je précise que si j'ai pu faire cette observation, c'est que cela se passait à la périphérie du nuage.

Cette observation m'a aidé à comprendre le fonctionnement de celle ci.

J'ai donc raisonné de la manière suivante, l'énergie de l'éclair fait chauffer fortement une gouttelette d'eau, il faut savoir que l'eau se décompose en oxygène, et en hydrogène à neuf cents degrés, donc une foi l'eau décomposée les deux gaz se combinent instantanément en brûlant pour reproduire de l'eau, et de la chaleur, qui elle, en même temps va dilater à une très grande rapidité l'air environnant, la dilatation de l'air produit donc une pression constante l'enrobant, ce qui forme une sphère de feu, et si cette sphère perd de l'énergie pour dilater l'air environnant, elle en concentre également de par sa forme en son milieu, pour avoir de nouveau une température minimum de neuf cent degrés, et l'eau reformé Par la combustion se retrouvant à l'intérieur, à nouveau sera une foi de plus décomposer pour rebrûler ainsi de suite. La foudre en boule fini par s'éteindre d'elle-même car à la longue l'eau se trouvant à l'intérieur fini par en ressortir.

J'ai du mal à croire que nous pourrions en tirer une énergie de manière rentable, car un jour je l'ai vu traverser une vitre, et aussitôt qu'elle était passée de l'autre coté, elle s'est éteinte, probablement qu'elle avait perdu trop d'énergie en faisant fondre le verre.

Rien parait-il ne le prouve, mais nous entendons souvent dire qu'il y a beaucoup plus de suicide à la pleine Lune, et des gens se pendraient fréquemment plus au moment des grandes tempêtes, cela peut avoir une logique avec ma théorie.

Il suffit de faire les déductions suivantes, notre esprit est j'en suis convaincu d'ordre magnétique, comme la matière, il suffit de raisonner de la manière suivante.

A la pleine Lune nous nous trouvons de manière à peu prés égale en intensité entre le champ magnétique de la Lune, et celui du soleil, ce qui fait que l'action de ces deux champs s'annule, je pense que notre esprit qui lui est d'ordre magnétique s'en trouve perturbé, et que pour certaines personnes plus, ou moins fragile d'esprit, cela peut les amener à déraisonner.

Il y a aussi ceux qui se pendent au moment des tempêtes, il suffit également de comprendre, que le déplacement de matière engendre des champs magnétiques, c'est à dire dans ce cas le déplacement de l'air, il peut être compréhensible que ces champs perturbe également notre esprit.

Dans cette théorie la lumière produite par les étoiles ne se déplace pas, mais elle est égrainée dans l'éther par l'extérieur de celle ci, notre esprit lui naît également de la matière, et à l'intérieur de nous même, compte tenu de l'expansion qui est le temps, il est obligé de rester à l'intérieur de notre corps, il devient donc facile de comprendre que chaque jour qui passe, de part les différentes actions et événements que nous rencontrons, il aura tendance à s'enrichir de souvenirs, ce qui fait que plus nous vivons vieux, plus notre esprit sera riche et fort.

Je ferais la comparaison suivante pour expliquer notre esprit avec la lumière.

Imaginons que notre corps soi une sphère creuse dont l'intérieur serait un miroir parfait sans tain, et qui laisserait rentrer la lumière dans le quel il ne puisse jamais en ressortir, la lumière tournera indéfiniment à l'intérieur de celle ci en se concentrant de plus en plus, jusqu'à ce que la sphère soit cassée, pour arriver enfin à s'en échapper.

Je pense que notre esprit lui, s'il ne se concentre pas comme la lumière, lui il s'organise au fil du temps dans notre corps, afin que tous les matins à notre réveil nous puissions nous dire j'existe.

Le mystère de l'esprit et l'intelligence sont vraiment issu de la matière.

L'homme prétend inventer tout, c'est absolument faux, je ne citerais qu'un petit exemple parmi des millions.

L'homme aurait inventé le harpon pour la chasse, pour comprendre que cela est faux, il suffit simplement de regarder à l'aide d'un microscope le dard des guêpes, ou des abeilles, cela est un véritable harpon, et je suis certain que ce n'est pas l'homme qui a inventé les guêpes et les abeilles.

Il faut quand même bien admettre que notre corps est conçu en majeur partie d'eau, et de carbone, si une personne de vingt ans est très jeune, la matière dont elle est conçue à quand même des milliards d'années d'existence, en raisonnant de la sorte, nous sommes donc tous très vieux.

De même il semblerait que la matière soit éternelle, inusable, et infatigable, je ne voi pourquoi l'esprit, lui, qui je pense est certainement d'existence similaire à la lumière, disparaîtrait à notre mort en s'évaporant, je suis convaincu à force de raisonnement, que l'existence continue après notre vie, je pense également qu'il n'y aura jamais de fin des, ou du temps.

Ce qui fait penser qu'après notre vie c'est le trou noir, est le fait que pendant notre sommeil la nuit, nous perdons toute connaissance, je pense que cela fait partie des idées reçues, il ne faut surtout pas confondre le sommeil et la mort physique, c'est l'erreur que nous commettons tous plus, ou moins.

Alain GOUVENAUX

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